Psychanalyse des contes de fées ...

Invité

Depuis son incarcerration , Kaze se languissait de son manque d'activité . Avouez que cloitré entre quatres murs , courir , marcher , était fort inaproprié , bref la jeune femme rêver d'évasion , de liberté , biens qu'elle avait malheureusement perdu pour insubordination. Mais Kaz' trouva tout de même de quoi s'occupait , et cette solution miracle à tout son ennuie etet à ses rêves de voyages s'apeller , Bibliothèque .

En effet quoi de plus passionnant que de se promener entre les rayons de livres poussièreux . Cette activité ne vallait aps la liberté mais elle s'en approchait , du moins de façon spirituelle .

L'ex-soldat avait appeler un gardien , comme à chaque fois qu'elle voulais se rendre dans la cour , à la caféteria ou tout simplement aller faire un brin e toilette . L'invidu l'avait conduit là où elle le désirait , elle n'était pas méprisait comme les autres prisonniers du fait de son ancien rang , mais elle était certaine d'une chose , c'est que si ces brutes épaisses avait l'occasion de lui faire du tort et ce par quelque moyen que se soit , ils n'hésiterait aps . Et c'est d'ailleurs pourquoi la jeune femme se tenais à carreau . toutefois , si l'un d'eux venait à lui chercher des noises quitte à ce que ce soit un dirigeant , un gardien ,un maître ou un prisonnier elle n'hésiterait aps à répliquer vu son état de nerf .

La captivité avait rendu la demoiselle fort incommode et seule les quelques visites d'Ethan lui rendait l'usage de la parole . Toujours sur le qui-vive , constament perdu dans es pensées et déconnecter de la réalité , elle nourrisser à présent un dégout sans pareil envers la petrsonne de Tyser . Le seul moement ou elle arrêter donc de ruminer ses ressentiments envers la terre entière était lorsqu'elle se rendait à la bibliothèque et se plongeait dans des ouvrages aussi profond que le gouffre de l'exil qui l'engloutissait peu à peu , la murant dans sa solitude et sa colère .

Longeant l'étagère B , la jeune femme laissa son doigt glisser le ong des relieures usagées d'ouvrages divers et variés lorsque l'un des volumes , plus important que les autres attira son attention .
La psychanalyse des contes de fées . Un titre prometteur pensa la jeune femme qui s'empressa de l'arracher à son étagère et de se diriger vers une table afin de dévoré tranquillement son ouvrage , mots après mot , avec un appétit non contenu .

C'est alors qu'elle entendit des pas , puis sentis un présence non loin d'elle ,un frisson traversa les muscles paralyser par les bras de Morphée de Kaze , la bibliothèque était presque déserte à cette heure-ci de la journée , il était près de 7h du matin , personne mise à part elle n'avait eu l'idée de venir hanté ls rayons de la bibliothèque ... jusqu'à maintenant !

Lya sortit vite fait de son appartement. Elle était pile a l'heure pour sa ronde. Un peu plus et elle était en retard, il ne fallait surtout pas qu'elle s'attire les foudres des supérieurs. Pourtant, elle n'avait pas vraiment peur d'eux puisqu'elle était devenue une femme assez forte mentalement mais physiquement. Si autrefois elle était effrayée pour rien, aujourd'hui elle ne l'était plus. Sinon pourquoi être gardien?

Elle faisait donc sa ronde, surveillait les cellules lorsqu'une femme prisonnière, ancien soldat voulu aller a la bibliothèque. Comme aucun autre gardien ne s'y proposait, Dalia décida d'y aller, sa lui changerais les idées, disons qu'elle n'avait pas passée une très bonne nuit.

Elle l'escorta de sa cellula à la bibliothèque sans embûches et la laissa libre dans celle-ci car elle voulait lire aussi. Cette femme était extra. Elle lisait, écoutait les bruits autour et surveillait sa prisonnière. Quoi de mieux? Dire que certaines personnes ne savaient pas faire 3 choses a la fois!

Dalia entendit un bruit quand elle finit justement un chapitre. Elle leva la tête; Kaze n'était plus en face d'elle. Elle se donna une claque mentale et la chercha dans la bibliothèque lorsqu'elle entendit un deuxième bruit assez louche. Pourtant, aucun prisonnier ni même gardien ne pouvaient être là, ils auraient avertit qu'ils arrivaient.

En tout cas, Lya le faisait, elle le disait dans son "walki-talki" pour ne pas causer de peur ou de méchante surprise a un de ses collègues. On sais jamais!

Finalement, Lya trouva l'ex soldat lisant un livre mais un autre bruit se fit encore entendre, plus fort. Elle posa une main sur son fusil par prudence et garda l'oeil ouvert. La prisonnière avait l'air inquiète ...

A peine entrée dans sa cellule après l'épisode de la cafétéria que Marina voulait à nouveau se ballader! Mais son gardien avait beau être sympathique, il ne la laissa pas sortir pendant près de trois heures! Tout ça, juste parce qu'elle avait voulu manger le visage d'un détenu qui lui avait manqué de respect! La punition, trouvait Marina, était un peu excessive... ^^ Sans compté qu'on lui avait confisqué ses affaires en punition supplémentaire! Là, on pouvait dire que la jeune cannibale était d'humeur massacrante! Elle avait HORREUR qu'on lui prenne son bloc à dessin et la photo de sa famille... Mais après trois heures passées dans sa cellule, le gardien avait finalement accepté de l'accompagner à la bibliothèque. Mais même arrivés à la salle des livres, Vincent le gardien ne la lâcha pas d'une semelle! Marina fit donc semblant de ne pas le voir. Elle marchait à travers les rayons quand soudain, un gros livre tomba de son étagère, faisant un boucan monstre dans la bibliothèque quasi-déserte. Marina ramassa le livre et lu le titre: 'La psychologie humaine: peurs et phobies, comment les déceler?'. Un grand sourire passa sur le visage de la jeune femme. Le livre sous le bras, elle tourna un coin d'étagère et trouva une table où lire... mais une prisonnière et son gardien s'y trouvaient déjà. Elles étaient toutes les deux en alerte, sûrement à cause du boucan que le livre avait fait en tombant.
"C'était le livre! Milles excuses si je vous ai effrayées." dit Marina le plus calmement du monde.
Elle s'assit alors à la table et commença à lire...

Lya la regarda un instant. Elle croyait l'avoir déjà vu quelque part mais elle ne se souvenait plus ou. Finalement, ce n'était qu'un gros livre épais, poussiéreux et lourd qui était tombé. Parfait!
La gardienne fit un légé signe de tête, pour dire à la détenue qui venait d'apparaître qu'elle avait compris et regarda Kaze. Tout était bien qui finissait bien. Elle qui croyait voir je ne sais qui arriver, Dalia était beaucoup plus rassurée.
Elle s'accota le dos sur les étagères en face des deux prisonnière, les surveillant de très près, ne sachant pas quelle réaction les femmes pouvaient avoir l'une envers l'autre. Le gardien faisait de même. L'ambiance était plutot lourde et le calme règnait dans la bibliothèque. Le silence était plus que pesant...