Nom: Jefferson
Prénom: Reev
¤ Surnom: -
Sexe: Masculin
Age: 23 ans
Rôle: Soldat
Physique: Reev porte une chevelure obscure. Il est de bonne musculature, celle-ci venant de son entrainnement de ses quinze dernières années, ainsi que son entrainnement régulier. Il porte des yeux brun noisette très pales. Ce qui peux faire presque parraître une faible teinte de rouge. Sur son épaule gauche, il porte un tatoo. Celui-ci représentant qu’il a été élève du vieux Zunhg. Il porte en temps de travail un uniforme de soldat. Sinon hors de ça une paire de jeans noir. Des bottes de l’armée. Il a un regard perçant et froid. A son poignet droit, y dort un bracelet de cuir, avec des inscriptions Thaïlandaise dessus.
Histoire: Dans le centre ville de New York, vint une petite famille de quattres. Un jeune père New Yorkais, et une mère d’origine asiatique, de précison, Thaïlandaise et deux enfants. Mais malheureusement cette si douce mère, vint a attraper le cancer. Le père désespéré envoya les deux gamins chez leurs oncle. Jun Siang, les deux enfants, adorait leur oncle. Mais le seul problème, était que celui-ci vivait en plein centre ville de New York, dans un petit appartement. Où y régnaient bien des gangs. Puis un jour, dans une belle journée ensoleilé, les deux jeunes garçont partirent marcher. Pendant leur marches, ils eurent envie de bonbons. Ils allèrent donc a une petite épicerie, mais en avant, ils y avaient, trois membres de gangs. Voyant arrivé les jeune, ils éclatèrent de rire. Reev, le cadet, de nature, agressive, arrogante et violente, vint insulter ceux-ci.
- Hey les affreux, laisser nous donc en paix! Cria le cadet.
Les trois jeunes hommes, vinrent pousser le jeune garçons de huit ans, tous en riant. Son aînés, si protecteur, avait horreur de ce spectacle, alors il poussa un des agresseurs. Reev lui sauta sur l’un d’eux, pour lui harcener des coups, mais, tous vint finir, que les deux Jeffersons subir a un massacre. Les membres du gang leur avait refait le portrait. Alors les deux gamins, retournèrent donc chez leurs oncle en pleurant sous leur lourdes blessures. Leur oncle Jun Siang sous l’horreur qu’il voyait, décida donc que plus jamais ses neveux se feraient battre. Puis ce soir la au souper, pendant qu’ils soupaient, le téléphone sonna. Alors Jun Siang ce leva, pour allez répondre.
- Oui bonsoir? Questionna l’homme en décrochant la ligne.
- Oui, monsieur Siang? Questiona a son tour la voix inconnue.
- C’est le Docteur Frankis.
- Bonsoir docteur. Répondit l’oncle.
- J’ai une malheureuse nouvelle a vous annoncé… Dis la voix du médecins, d’un ton triste.
Jun Siang avait tous de suite compris que sa sœur venait de décéder. Une larme vint couler sur sa joue, puis d,une voix tremblotante sous la peine, il questionna.
- Oui?
- Bien comme vous l’avez surment devinez, votre sœur, est morte il y a quelques heures. Lors d’un opérations complexe. Déclara le diplomer en médecines.
- Et… Pour agraver la situation, son mari, fait une terrible dépression… Nous devons l’envoyer dans une hopital spécialisé dans la psychologie émotionelle. Continua le docteur.
- Alors a vous de garder les gamins, mes synphaties, monsieurs, désolé, je dois vous laisser..
Et il raccrocha sans attendre la réponse du Siang. L’oncle, ne pouvait dire ceci au gamins, ils savait qu’ils allaient surment leur arrivé malheure, en ayant une si grande peine. Mais, il ne pouvait garder ses neveux ici. Il travaillait souvent. Mais il connaissait quelqu’un. Il allat s’asseoir, raccrochant avant. Il termina le souper. Après celui-ci, les deux frère, était au salon fesant des dessins et des trucs de ce genre. Alors, Jun Siang en profita et appela un de ses amis.
- Oui, bonjour, dis moi vieux, j’ai un grand service a te demander.
- Oui. Répondit l’ami de l’oncle a travers le téléphone.
- Tu crois que le maitre pourrait prendre de nouvelle recrue de huit ans et dix ans?
- Pour toi, demain matin.
- Merci a demain. Le thailandais raccrocha, soupirant, puis s’assied devant la télévison, regardant les nouvelles de l’heures.
Il vint l’heure du coucher, les deux garçon ne ce doutant de rien. Le lendemian matin, l’homme réveilla tôt les deux garçons. Pour ensuite leur dirent ce qui allait être. Les deux Jefferson, eurent les yeux rond lorsque a cinq heure du matin on se fait apprendre qu’on vas chez un étranger. Mais leur oncle, savait très bien que c,étais le mieux pour eux, ils sauraient ce déffendre, ainsi qu’ils serait discipliné sagement. Ils préparèrent leur bagage cinq minute avant le décollage. Ils embarquèrent dans la voiture. Puis s’endormit, sous le bruit du moteur et la musique de la radio. A leur réveille, ils étaient maintenent dans une sorte de forêt, une campagne. Il voyèrent une sorte de chalet, une giganteste maison. La voiture se stationna. Puis ils sortirent tous. Les gamins regardèrent la place, intrigué. Puis un vielle homme asiatique arriva avec l’aide de sa canne.
- Aaaah tien, mon vielle élève! Le dis maître les acceuillant chaleureusement.
Une grande discution commença entre Jun Siang et le vieux Zunhg. Puis après un quart d’heure, ils vinrent a appeler les deux gamins. Ils leur annoncèrent, que leur nouveau tuteurs était le vieux Zungh. Les deux jeune thaîlandais sourient a l’homme. Puis après quelque heures, après les adieux, Reev parla discrètement a son frère.
- Ce vieux là ne peu même pas tenir sur sa canne.
Le sage avait tous entendue. Il se retourna et flanqua avec sa canne un coup sur la jambe de Reev, celui-ci tomba au sol.
- De un, c’est pas le vieux, de deux, le vieux te fou une racler jeune insolent. Répondit sèchement de sont on asiatique Zunhg.
- Pardonner mon frère monsieur! Tendant la main, vers le vielle homme.
Il fit demême qu’avec le plus jeune, il mit a terre le jeune homme, fronçant ses long sourcils gris.
- Ce n'est pas monsieurs mais maîtres! Insolent.. Il continua son chemin, sans se préoccuper des gamins.
Le maîtres détenait une quantité de territoire exeptionnel. Il avait bien des sorte d’animaux exotique. Il avait des éléphants, des chèvres, des chevaux, et bien d’autres, bien sur, avec l'argent que le vieux pouvait avoir, les animaux était dans des cages, dans des endroit fait pour eux a leur environnement. L’homme était bien plus que milliardaire, mais peu de personne semblait le connaître. Les Jeffersons s’habituèrent bien rapidement a l’enseignement de leur maître. Ils apprenèrent les même chose que leur enseignement scolaire en aurait fait, mais tous en s’entrainnant. Depuis l’âge de huit ans. Reev s’entrainna, appris les art martiaux. Mais pas qu’un. Il apprit bien des art martiaux. Japonais, Chinois, Thaïlandais, même Africains. Ainsi que l’endurance physique et la gymnastique, leur servant a se faufiler un peu partout, grimper sur des objets, facilement. Esqualader, éviter. A devenir des vrais hommes, endurant et fort. Ils apprenèrent a ne sentir aucunne émotions, pour pouvoir être neutre et vif. Pour toujours réfléchir avant, ce qui fait qu'il devinrent très dure a insulter, sauve pour Reev. Après quinze ans intensif d’entrainnement. Ils le finirent. Mais étrangement un agent de police très haut gradé vinrent les voir, leur fesant signer un papier, disant qu’ils étaient considérés, comme une arme, des hommes classifier dangereux. Alors après leur oncle revint les chercher. Puis ils partirent chez eux. Leur oncle était a la retraite, milliardaire. Puis on leur dis tous, pour leur mère et leur père. Mais, les deux Jefferson allèrent ce promener dans la vielle place de leur oncle ou leur bagare fructureuse fut été. Ils revirents les trois membres, ils n,avaient pas changer, ils avait le même visage. Reev sous la rage, alla les voir, mais son frère tenta de l’empêcher, mais, sans réussite. Reev s’arrêta devant l’un deux.
- Salut l’affreux, toujours aussi laid?
L’homme ne tarda pas a tenter d’arcener un coup de poing vers Reev. Mais celui-ci agrippa le bras de l’homme, pour ensuite le casser. Un lui sauta dessus, mais il l’agrippa par le collet, et le fit passer par dessus lui, pour ensuite lui arcener un coup de pied directement sur la gorge. Le dernier lui vint lui envoyer un coup de pied. Reev agrippa le pied, et cassa d’abord la cheville, ensuite le genoux, pour enfin monter et casser la jambe au complète. Une voiture de patrouille passa et vue ce qui venait de ce passer. Il arrêta sur le champ. À son dossier, il était bien inscrit que ses arts martiaux, ne pouvaient être utilisé. Alors il était comdamnées. Comdamné a mort. Il fut enfermer immédiatement, sans procès, ne sachant ce que son frère allait devenir. Il s’endormit dans sa froide cellule. Pour ensuite se réveiller abord d’un hélicopter. Celle-ci le conduisit sur une île. Des prisonniers, des gardiens, et bien d’autres y étaient. Il n’était pas le premier. Alors pendant son sombre sommeil, une organisation plus secrète que la C.I.A était venue le chercher pour éléminez son identiter par un moyen quelqu'onque, tous était arrenger avec la justice. Tous haut gradé de police ou diplomate le savait, mais en bas de ça, non. On lui dis qu’il avait été choisi pour être une sorte d’élite et conservé la sécurité contre des criminels, les pires. Il accepta ce disant qu’il devait vivre ce que le destin lui présentait.
Caractère: A cause de son entrainnement de quinze ans, il est simple de comprendre qu’il a une mentalité stricte. Sévère, très sérieuse. Il reste malgré tous le jeune homme agressif, violent et arrogant. Il adore se battre. Mais il tente de s’abstenir, malgré qu’il a bien plus qu’un choix dans cet enfer. Il a un petit côté sarcastique. Légèrement négatif. Mais il aime bien plaisanté. Malgré la perte de sa famille, il reste un jeune homme sociable. Ne perdant pas sa tête a trouver sa personnalité, ou qu’esce que la vie pourrait lui apporter. Il est fière. Il est facile d’approche, très sociable. Mais dès que l’opportunité se présente il pourrait bien ce battre.
Armes(s): Un M16, Précison – MR733 - Grand couteau de l’armée. Menotte et autre éffets.
Qualtités/Défauts: Qualités : Facilité a être sociable.
Son sens de de l’observation.
Défauts : Sa violence
Son sarcasme
Forces/Faiblesses: Force : Ses apptitudes en Arts Martiaux – Faiblesse : Très facile a vexé
Phobie: Cancérophobie (la peur du cancer.) Simple, rien n'est dis, mais, c'est par rapport a sa mère.
Trois mots clés dans les règles: Solitaire-Fleur-Déménagement