L'arrivée de la seconde

Astrid arriva devant le bureau du dirrecteur mais se dernier n'y était pas. Elle demanda alors à l'un des gardiens passant d'aller lui chercher le dirrecteur, parce qu'elle n'attendrait pas là toute la journée. Le gardien s'exécuta et Astrid, étant maintenant seule, regarda autour et pris une épingle de ses cheveux pour crocheter la serrure et entrer dans le bureau.

Elle regarda autour d'elle pour mémoriser tout ce qui se trouvait dans cette pièce. Elle posa ensuite sa malette sur l'une des chaises posés en face du bureau et s'assit nonchalement sur le coin du bureau, les jambes croisées, attendant l,arrivé du dirrecteur.

Tyser entra en sifflotant et fut surpris de voir son bureau ouvert il en déduit que la femme s’y trouvant avait du y entrer par ses propres moyens, il referma la porte et la regarda un moment de son habituel regard inexpressif, elle était plutôt mignonne et portait une tenue ravissante elle esquissait un léger sourire espiègle et son regard gris et froid lui plaisait assez. Il s’assit sur la chaise de son bureau et ouvrit la parole

"Tu dois être Astrid Kayne je présume? On peut se tutoyer d’ailleurs autant partir sur de bonne base vu que tu seras ma seconde. Je suis Benjamin junior Tyser le directeur de cet établissement, alors comme ça on t’as envoyé en renfort, remarque , c’est pas de refus"

Il savait qu’on avait envoyé une autre dirigeante pour le seconder dans sa tâche, on le lui avait dit, il avait présumé par son charisme et son audace que ce devait être elle. Puis il devait la rencontré aujourd’hui en plus. Il resta un long instant à la fixer de ses yeux froids et inexpressif ne laissant échapper aucune pensée du directeur

Astrid avait un sourrir espiègle accroché au visage depuis qu'elle était entrée dans le bureau par infraction. Même si elle était la seconde du dirrecteur, elle s'attendait bien à lui montrer qu'elle ferait les choses à sa façon et pas autrement. Tyser semblait bien heureux de pouvoir avoir de l'aide et il semblait ne pas détester la regarder non plus. Son côté inexpressif lui plaisait bien, ils allaient surement bien s'enttendre sur ce point. Mais il était certain qu'elle allait tester jusqu'où elle pouvait aller avec lui.

- Bien, le tutoyé me va. Maintenant j'aimerais que l'on discute affaire. Je suis têtue, alors cela ne risque pas de prendre moins de 5 minutes...

Elle le regarda alors de son regard perssant. Elle s'était légèrement penché vers l,avant et laissait un peu entrevoir son décoleté. Elle voullait vraiment savoir jusqu'où elle pouvait pousser l'indéscence avec son supérieur.

Tyser remarqua tout de suite qu’elle commençait peu à peu un petit jeu pour le tenter, surtout en mettant ainsi en valeur ses formes devant lui, il regarda les formes généreuses de la jeune femme sans la moindre gêne et sans se cacher toujours avec ce même regard, et ne rougissant même pas, il n‘y avait aucune marque d‘intimidation sur lui. Il dit alors:

"Tu veux parler affaire? Soit, comme tu veux, je ne suis pas quelqu’un de particulièrement exigeant ou têtu, donc en effet ça ne devrait pas prendre longtemps"

Il sortit son paquet de cigarette et s’en alluma une puis il prit une grande bouffée et posa ensuite le paquet sur la table et le tendit vers Astrid en lui demandant:

"Cigarette?"

Son indifférence à ses charmes la fit sourrir. Jamais un homme ne lui avait résisté, il était donc un défi. Elle accepta une cigarette et craqua une alumette qu'elle lui avait emprunté, sur le coin de son bureau. Elle prit une grande bouffé puis se leva pour marcher un peu dans la pièce, n'évitant surtout pas un légé déhanchement.

- Bien! Alors dans ce cas je ne me gènerai pas. Tout d'abords, je tiens à présiser que je ne fonctionne pas autrement qu'à ma propre façon et qu'elle n,est pas des plus douces ni des plus reposantes. Ce n'est pas discutable. J'obéhis aux ordres, mais les méthodes pour arriver au résultat esconté, me sont propre.

Elle prit une pause, se tourna vers Tyser et le fixa un instant en prenant une seconde bouffé avant de reprendre.

-De plus, je suis très travaillante et je peux continuer sans arrêt durant deux à trois semaines sans problèmes. Alors pour les congés je n'ai qu'une exigence, c'est que je puisse décider quand les prendre et combient de temps. Généralement, ça ne dépasse pas les trois à quatres jours.

Elle s'avanssa alors lentement vers le bureau, prennant une troisième bouffé, et le contourna pour se placer dirrectement devant son supérieur. En fait, elle avait plutot glicé entre le bureau et lui, toujours son sourrir espiègle au visage. Elle parla cette fois d'une voix un peu plus basse et légèrement sensuelle.

- Tu sais, dans l'armée les rapports entre hommes et femmes sont très surveillé, pour ne pas nous distraire de la mission. Donc j'ai quelques années derrière moi à rattraper... Alors j'aimerais avoir le prévilège de pouvoir m'amuser un peu avec quelques prisonniers...Bien sur ils ne seraient pas en liberté de mouvement avec moi. Disons que je suis plutot du genre à mener le jeu.

Tyser la regarda ainsi et écouta tout ce qu’elle avait à dire, il regarda dans les yeux toujours avec ce même regard indifférent puis reprit une bouffée de cigarette. Il constata que cette jeune femme était aguicheuse et tentatrice, et qu’elle semblait aussi respectueuse avec les vies et les avis de prisonniers que lui même, ce qui ne lui déplaisait pas. En ce qui concernait le jeu qu’elle faisait avec lui, ça le laissait de marbre, il n’était pas du genre à se laisser intimider, cependant elle avait un fort pouvoir tentateur … Ben se disait qu’elle devait sûrement se mettre dans la poche tous les hommes qu’elle voulait. Cependant Tyser était quelqu’un de très peu accessible à ce niveau, les seuls rapports avec les femmes qu’il a eu sont rester purement sexuel et a n’a durer qu’une nuit. Il répondit alors:

"Ça me va. Je ne tiens pas à ce que ces criminels soient respectés, bien au contraire tu comprendras très vite que j’ai la réputation d’être horriblement sadique avec eux, ce qui n’est pas faux il faut le dire. Si tu fais une visite tu verras que j’ai salement amoché la plupart d’entre eux. Tu sais je ne tiens pas à ce qu’ils restent en vie, je veux qu’ils vivent leurs derniers instants dans des souffrances horribles pour mieux mesurer leurs crimes. Fais ce que tu veux avec eux, je m’en contrefiche. Et en ce qui concerne les congés fait ce que tu veux, tu es une dirigeante je te le rappelle, tu n’as pas de compte à rendre à ce niveau, c’est juste concernant la prison en elle même qu’il faudra passer par moi. Moi, de toute façon je ne quitte jamais l’île, je ne suis jamais en congé. Et enfin pour finir je te le rappelle, soit la plus violente possible c’est mon souhait."

Astrid sourrit alors de toutes ses dents. Ben ne sucombait absolument pas à ses charmes, elle n'avait jamais vu ça, mais cela ne la frustrait pas. Bien au contraire, cela l'amusait. Ses autres proies étaient trop facile à entortiller dans ses pièges sexuels et un nouveau défi se présentait. Elle posa alors son pied sur la chaise de Ben, entre ses genoux, lessant glisser la pointe de son soulier sur sa cuisse, toujours le même sourrir espiègle au visage.

- Tu as d'autres souhaits que je pourrait t'aider à combler?

Quelques secondes de silence planèrent avant qu'un soldat frappe à la porte et entre pour anoncer la venue d'une nouvelle prisonnière. Il s'arrêta alors dans son élant et regarda les deux dirrigeants un peu gèné il demanda.

- Est-ce que je dérange M. Tyser?

Astrid se tourna alors vers le soldat, se releva et avec un grand sourrir dit.

- Oh mais pas du tout soldat! Nous fesions plus emple connaissance. J'aimerais me charger de la nouvelle, si je puis me permettre bien sur.

Tyser laissa tranquillement faire Astrid sans se débattre ni non plus en demander plus, il gardait toujours cet air indifférent, il voyait bien qu’elle passait à la vitesse supérieur ce qui l’amusait , il sourit donc un peu en levant légèrement un sourcil. Alors qu’il allait dire quelque chose un gardien entra dans la pièce et les regarda quelque peu gêné, ce qui était tout à fait naturel en vue de la position qu’ils avaient pris. Puis Tyser vit qu’Astrid semblait vouloir s’occuper d’une nouvelle détenue, il dit alors comme pour confirmer

"Soit tu n’as qu’à t’en occuper, tu n’as qu’à en profiter pour rendre visite à nos chers autres détenus. Tant qu’à vous soldat vous pouvez disposer, je vous remercie de m’avoir prévenu."

Le soldat regarda encore une fois les deux dirigeants, un peu gêné, avant de sortir pour retourner à son travaille. Astrid le regarda sortir du bureau et affichait un sourire de malice à l'idée qu'elle se soit "fait prendre" à ses tentatives. Que les membres du personel sachent qu'elle était de cette nature ne la dérangeait pas et l'amusait un peu de savoir que les hommes pourraient risquer de tenter quelque chose.

- Il y a d'autres formes d'usage dont je doit être mise au courant pour ce qui est de l'acceuil des prisonniers de cette prison?

Elle mit une main sur sa hanche et joua des doigts comme un signe d'impatience, mais on voyait bien qu'elle ne l'était pas. C'était plutôt en fait pour attirer le regard. Elle regardait le dirigeant sérieusement, mais en gardant une petite pointe de malice.

Tyser gardait toujours ce même regard il prit une bouffée de cigarette et déposa les cendre dans son cendrier, puis il répondit alors calmement sans prêter attention aux faits et gestes d’Astrid:

"Je t’ai dit ce qu’il fallait, maintenant à toi de savoir ce que tu veux faire. Je veux juste que tu leur inflige la souffrance, c’est tout ce que je demande."

Il resta ainsi calme et le ragera posé sur sa cigarette …