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| Amy Tremblay | |
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Amy Tremblay
Nombre de messages : 31 Age : 31 Localisation : Oh, mais j't'en pose des questions? Cellule/Rôle : C-01 Date d'inscription : 11/08/2007
| Sujet: Amy Tremblay Mar 14 Aoû - 10:54 | |
| Nom: Tremblay
Prénom: Amy
¤ Surnom: …
Sexe: Féminin
Age: 20 ans
Rôle: Prisonnier
Physique: Amy, à première vue, ressemble a un homme, mais lorsqu’on prend le temps de bien la regarder, on peut reconnaître que c’est bien une femme. Elle a des yeux bleu, un simple bleu presque hypnotisant, ils donne toujours l’impression qu’elle est ailleurs, mais lorsqu’elle vous regarde droit dans les yeux, ce qui ce montre à être rare, on peut voir sa mélancolie et sa sincérité. En la regardant, on ne voit pas ce qu’il y a de dangereux, mais de nature, pur instinct, personne n’ose lui faire confiance. Elle a des cheveux blond foncé à la racine il sont noirs. Ils sont gras et en bataille, elle les portent toujours très court, en fait, ce sont ses cheveux qui font hésiter les gens si c’est une femme ou pas. Dans ses cheveux, elle porte des bandages, comme si elle était blesser. Elle ne regarde jamais quelqu’un dans les yeux et va même jusqu’à les fermer pour ne pas croiser le regard de personne. Elle n’est pas musclé du tout, mais elle est très squelettique, mais pas anorexique. On pourrait le croire, mais non. Amy a une cicatrice sur le bras gauche qui va de son épaule jusqu'à sa main. Elle est très rapide à la course et au combat, mais elle n’est pas forte. Sa peau est aussi très blanche.
Caractère: Amy est une personne de loyale sur qui on peu compter pour garder un secret. Elle ne parle presque jamais et lorsqu’elle parle, ce n’est pas pour ne rien dire. Elle déteste lorsqu’on ne respecte pas sa paroles, elle n’aime pas avoir des amis, elle aime la solitude, car elle a l’impression que c’est lorsqu’elle est seule qu’elle ne souffre pas. Elle pourrait avoir des connaissance, elle n’est pas anti-sociale, mais si c’est le cas, ces personnes peuvent parfois devenir ses amis et devenir une faiblesse. Elle est très dépressive, il se peut que l’on la voit entrain de tenter de s’enlever la vie, ou bien en train de se donner une quelconque douleur. Elle est très étrange, malgré ses crimes, elle ne semble pas a première vue, dangereuse. Elle n’est pas impulsive, elle sait ce qu’elle a fait, elle peu en nier, mais elle ne lèverait jamais la main sur personne si elle n’a pas de bonne raison, elle est en partie soumise, elle sait qu’elle n’a plus raison d’avoir l’espoir de sortir vivante. Elle aime dessiner des visage déformer par la souffrance et des monstre tout droit sortit de son imagination, son peintre favori est Salvador Dali. Elle n’aime pas crier sa douleur, car elle va avoir l’impression de perdre et elle déteste perdre…
Qualités/Défauts: Elle est loyale, elle tien toujours une promesse. Elle est attentive et peu comprendre bien des choses, y compris la souffrance. Elle aime néanmoins voir souffrir le monde, elle aime savoir leur problème, leur peur… mais ne les utilisera jamais. Comme défaux, elle est orgueilleuse et solitaire.
Forces/Faiblesses: Sa force réside dans la vitesse, sa faiblesse est la force physique, elle n’est pas forte, elle est aussi facile à atteindre si elle a des amis. Les cordes et l’eau sont aussi sa faiblesse et on peu utiliser contre elle le fait qu’elle est loyale.
Phobie: Elle est Aquaphobe (peur de l’eau) et Cnidophobe (peur des cordes)
Délit commis: Pour avoir mérité ma place dans cette prison, j’ai commis le meurtre d’une famille de trois personne et de trois autres personnes, le reste ne m’a valut qu’une pâle réputation…
Objets en votre possession: On m’a laisser emmener des crayons de bois et un à la mine et un cahier de dessin.
¤ Autres/Questions: Depuis mes meurtres, je n’ai plus jamais dit quoi que ce soit, du moins, à un être vivant…
Trois mots clés dans les règles: [Train], [Téléphone] et [Marteau]. [L'histoire dans l'autre post...]
Dernière édition par le Dim 19 Aoû - 12:12, édité 2 fois | |
| | | Amy Tremblay
Nombre de messages : 31 Age : 31 Localisation : Oh, mais j't'en pose des questions? Cellule/Rôle : C-01 Date d'inscription : 11/08/2007
| Sujet: Re: Amy Tremblay Mar 14 Aoû - 10:57 | |
| Histoire: Je suis née dans une famille au Canada, ma mère était peu présente et mon père également, aillant tout deux un travail leur empêchant de pouvoir passé beaucoup de temps avec leurs enfants. En fait, ma famille était composé de cinq membre… mes parents, mon jumeau et mon grand frère, âgé de dix ans de plus que moi… Au début, mon jumeau et moi, c’étais la guerre… Alors je m’approchais plus de mon grand frère.
Étant entourer de frère et n’aillant aucune influence féminine à la maison, puisque ma mère n’était là que lorsque je ne pouvait la voir, je fus beaucoup plus masculine, j’étais toujours habillé comme un garçon et j’étais comme un garçon. Malgré tout, là n’est pas la question. Un jour, alors que je rentrait de l’école, je vis mon frère, il était assit sur le sofa, les jambes replier vers lui, il pleurait silencieusement, fixant le vide, ses mains sur ses genoux. Je le trouvais plutôt mignon mon frère, il était très différent de tout le monde. J’étais peut-être la seule à vraiment l’apprécier… Le voyant ainsi, je lui demanda ce qu’il avait, il me dit qu’il était dans une impasse… Il ne m’en dit pas plus, il se leva et vit me prendre les poignets et me regarder dans les yeux. Il me fit promettre de ne rien faire pour l’empêcher d’agir, de ne pas me mettre en travers de son chemin et que s’il me le demandait, de l’aider, je le lui promis… Et je le regretta toute ma vie. Je n’avais que dix ans…
Trois jours plus tard, alors que je revenait à la maison, je vis mon frère regarder la télévision… il semblait préoccuper, comme obséder. Il tourna lentement son regard vers moi puis se leva, ne me quittant pas du regard. Il vint me prendre par les épaules puis me fit un câlin, mais ce n’était pas un câlin ordinaire, je ne pouvait plus bouger. Il me chuchota à l’oreille
Amy… Si je t’empêche de bouger c’est uniquement parce que je veux que tu m’écoutes, n’ai pas peur. Je vais bientôt mourir… Mais tu seras en danger une fois que je ne serais plus là. Notre père… Tu ne le sais pas parce que tu dors, mais… il bat mère presque à tout les soirs. Et j’ai peur qu’il ne s’y mette sur toi… ne lui fais jamais confiance, ne le laisse jamais te toucher… Lorsque je serais mort, trouve toi un ami, une personne sur qui tu vas pouvoir compter. Je ne veux pas qu’il ne t’arrive du mal, petite sœur…
Je sentais des larmes couler sur mon épaule, mon frère pleurait encore, il serrait moins fort, alors je libéra mes mains et l’enlaça à mon tours. Je me mis à pleurer à mon tours… Le soir venu, je me fis réveiller par mon grand frère, il était minuit… Je lui demanda pourquoi, mais il me mit la main sur la bouche et me fit signe de me taire. Il me tira pour que je le suive, me doutant de ce qu’il voulait me montrer, je le suivit le plus silencieusement possible, regardant où je mettait les pieds. Il me conduisit jusque dans la chambre des parent, qui était à l’autre bout. J’entendis alors une femme crier, j’eut le souffle couper, c’était ma mère de toute évidence… Et j’entendit par la suite une voix d’homme enterrer les cris pour hurler des injures. Des larmes se mirent à couler sur mes joue, C’était donc vrai ? Mon père était un monstre ? Je regarda mon frère qui me tenait l’épaule, sans bruit, il me tira à nouveau, mais vers sa propre chambre. Rendu dedans, on pouvait encore entendre les fris, car la chambre se trouvait non loin.
Voilà ce que je veux dire, j’entend ces cris tout les soirs depuis un an… Depuis un an, je ne dors presque pas… Depuis un an, j’ai peur pour toi… Amy, je voulais être sûr que tu n’avais aucun doute sur ce que je t’avais dit la dernière fois… Alors voilà, maintenant, tu ne peux plus douter…
Il baissa la tête. Je ne savais pas quoi faire, je ne voulais pas retourner dans ma chambre, j’avais peur. Je me mis alors à pleuré, en silence. Je retenait mes sanglots pour ne pas que mon père ne m’entende. Mon frère me serra fort contre lui, longuement. Le temps que je m’endorme… Le lendemain, j’étais dans sa chambre, sur son lit, je ne le voyait pas. Je baissa mon regard sur le sol, il était là. Aujourd’hui c’était samedi, je n’avais pas d’école. Alors je pensait passé une journée normale, j’avais passé toute la journée dans ma chambre à réfléchire à qui je pouvais faire autant confiance… Jusqu’au moment ou je me rappela que personne n’était là, excepter mes deux frère, et je suis allé les voir. Je croyait que mon frère était dans la salle de télévision avec mon jumeau, mais il n’y avait que mon jumeau, je ne vis pas mon grand-frère. Je ne m’inquiéta pas tout de suite, mais je remonta en haut et lorsque je le vis pendu dans la cours, je poussa un cris qui eut pour effet d’alarmer ma voisine et mon autre frère, tout deux virent vérifier pourquoi j’avais criée, je ne fis que pleurer devant mon grand frère.
Pendant trois, je pleurait en silence toute les nuits, partageant ma chambre avec mon jumeau, je faisait mon possible pour ne pas qu’il ne m’entende, mais un soir, il n’arrivait pas à dormir, alors il entendit quelques petit sanglot que je voulait étouffer dans mon oreiller. Mon jumeau se leva puis vint me voir, mettant sa main sur mon dos. Il me consola de son mieux, mais même si je pleurait encore, j’étais troublé, je venait de me rendre compte que toute ces guerres entre nous deux ne nous avaient pas éloigner l’un de l’autre, mais nous avaient rapprocher. Je me redressa, le visage baigner de larme et je lui demanda s’il voulait me protéger. Il fut un peu surpris de la question, alors je lui expliqua ce que notre grand frère m’avait dis la dernière fois. Alors il dit qu’il ferait de son mieux pour rester avec moi. Depuis, lui et moi nous nous aidons et je m’entendais avec lui comme je m’entendais avec mon grand-frère.
Deux ans plus tard, ma mère eut un accident de voiture et mourut dedans, cela sembla attrister mon père, mais moi… cet accident sema le doute en moi. Mon jumeau aussi s’inquiéta pour moi. Pour le départ, je ne fut pas tout de suite consciente qu’il avait commencer à se défouler sur mon jumeau, ce dernier arriva un soir et me dit qu’il en avait assez et qu’il partait, et que, malgré tout, il m’aimait et ne penserait qu’à moi. Depuis cette discutions, je ne l’ai plus jamais revu, mon père ne lança même pas un avis de recherche.
Ce fut le jour de mes 13 ans où mon père commença à me battre. Mais cette fois, je reconnu que sa manière était différente. Je l’avais parfois espionner alors qu’il battait ma mère et là, c’était différent, son regard, sa manière d’agir… Il m’attacha les mains et les pieds, je n’arrêtais pas de lui demander ce qu’il faisait et pourquoi, je me débattait malgré le fait que les liens était serrer et me faisait mal à chaque mouvement. Mon père commença à me frapper. Non, plutôt à me torturer. Un jour il tenta même de me noyer, mais en fait, il me garda la tête sous l’eau, la sortait, la rentrait et je faillis y laisser ma vie. Je n’allais plus à l’école, personne ne se posait de question puisque personne ne se souciait de moi. Pendant deux ans, je me fis torturer, autant physiquement que mentalement. C’était affreux, je pleurais mon désespoir, mais ne lui donnait pas le plaisir de pousser le moindre cris. Mon père me fit mainte torture, seulement pour entendre, ne serait-ce le moindre couinement.
Mais à mes 15 ans, alors qu’il était au travail, je tenta d’aller dans la cuisine, en me tortillant, je réussit à y aller, rendu dans la cuisine, je chercha quelque chose pour le libérer, le vit un couteau sur le comptoir. Je me redressa et puis je pris le couteau et tenta de couper mes liens. Cela prit énormément de temps, mais au bout d’une heure et demi, j’étais libre. Je pris un couteau de cuisine pour couper la viande et j’attendis mon père, j’étais faible, mais je voulais lui faire payer… Lorsqu’il entra du travail, je l’attendais, un air sombre sur le visage et le regard d’une folle. Je posa tranquillement mon regard dans celui de mon père. Je lui dis sur un ton qui n’était rien d’autre qu’hystérique
Alors… content?! Content de ce que tu as fait de ta fille? Regarde ce que je suis devenue… Je vais te tuer…seulement te tuer. Et ce ne sera même pas le centième de ce que tu m’as fait…
Et d’un coup, vif et rapide, je lui planta de couteau dans la poitrine, là où son cœur était, j’étais hors de moi, je n’étais pas moi-même. Avant que mon père de pense à crier, je lui trancha la gorge. Une fois mort, je le mis dans sa chambre, et je lava le couteau et le cacher sous mes vêtements. Je me pris quelques chose à manger. Pendant deux jours, je mangea pour reprendre des forces. Ensuite, je m’enfuis de la maison et pendant deux autres longues années, on n’entendis plus parler de moi. Le cadavre de mon père avait été trouver et la police me cherchait, croyant que j’étais toujours dans la ville, en fait, j’avais quitter la ville, j’étais partie dans une autre ville.
Rendue là-bas, j’eu une étrange envie de voir du sang couler… Je marcha vers une maison, lentement… je marchait le plus silencieusement possible, puis, lorsque j’y arriva, j’attendis un peu, Je tentait de voir l’heure, apparemment, il était tard le soir. Je regarda dans une fenêtre, je ne vit personne de lever, alors j’alla à la porte arrière. Je cassa la vitre et débarra la porte dans le trou que je venais de faire. J’ouvrit la porte et j’entra. Je marchait le plus silencieusement possible, cherchant une chambre. J’en trouva une au rez-de-chaussée. J’entra dedans, c’était la chambre des maître de la maison… Je pris mon couteau et je trancha la gorge de l’homme, la femme se réveilla, comme si elle sortait d’un cauchemar, elle était assise, elle ne m’avait donc pas vue. Je décida de la prendre par derrière. Je mis le couteau sur sa gorge et mis ma main sur sa bouche. Et puis je lui trancha la gorge avait qu’elle ne se débatte. Je réussit à faire cela avec un minimum de bruit. Je chercha ensuite, tout aussi silencieusement, s’il n’y avait pas un enfant. Au deuxième étages, je vis une chambre, j’y entra, il y avait une petite fille, j’eu un ricanement, mais cela ne la réveilla pas, elle avait un sommeil profond…
Je pris mon couteau, je le lui mis sous la gorge, mettant encore ma main sur sa bouche, elle se réveilla. Je lui dis que si elle criait, elle mourait tout de suite, je lui fis une entaille sur son bras, elle retint son cris. Je souris, je fis plusieurs entaille, elle avait de plus en plus de difficulté à se retenir, puis elle finit pas pousser un petit cris. Elle eut un regard effrayer. J’eu un sourire. Je lui mis la lame sous la gorge et avant qu’elle ne fasse quoi que ce soit, je la lui trancha. Ensuite, avant que quelqu’un n’arrive, je sortit de la maison. Une fois à l’extérieur de la maison, je m’enfuis. Je me dirigea vers un dépanneur, rendu là-bas, je regardait les personne sans trop m’en occuper, je me dirigea vers l’arrière, mais dès que je fus hors de vue de tout, je sentie une lame froid glisser sur ma gorge, j’arrêta net de bouger. Il me chuchota à l’oreille de ne pas crier et de ne faire ce qu’il dirait. J’eu un sourire, je sortit subtilement et doucement mon couteau et lorsque j’eu une ouverture, je la lui planta d’un puissant coup dans le crâne. Lorsqu’il fut au sol, je me mit à rire hystériquement. Il ne savait pas qui il avait menacer.
Je ne vis personne, mais cette fois, je sentit quelque chose me tenir les mains, je tenta de me tourner, mais il mis une lame sur ma gorge. Encore? J’étais, cette fois-ci, mal barré. Il enleva la lame de sur ma gorge et me poussa, je tomba au sol, je me rattrapa avec mes mains qu’il avait aussi lâcher. Je tenta de me retourner, mais il me garda au sol en faisant une pression dans mon dos. Il m’attacha les mains puis il me leva la tête en me prenant par les cheveux, je remarqua, en fait, qu’il était assis sur mon dos. Il me fit un sourire pervers, je chercha plutôt du regard mon couteau, il était plus loin dans le gazon. Je leva la jambe pour lui donner un coup de pied puissant sur la tête, en fait, je réussit à l’assommer. Lorsqu’il tomba au sol, je passa la corde sous mes jambes et je me releva pour aller prendre mon couteau, je le pris à deux mains puis, j’alla le planter dans le cou de l’homme. Ensuite je tenta de couper les liens, cette fois, cela ne pris que quelques minutes.
Une fois libérer, je me releva et c’est là que je vis une voiture de police passé devant le dépanneur, je me cacha derrière ce dernier, espérant être passé inaperçue. Je me mis alors à paniquer et je me mis à courir. Malheureusement, c’est justement ce qui attira leur attention. Ils me suivirent malgré tout discrètement, j’avais mal au poignet et en plus, j’étais épuiser, ces deux hommes était plutôt fort, même si je les avaient vaincue plutôt rapidement, ils étaient plus fort que moi et luter contre la force c’était épuisant. Alors, je finis pas m’arrêter, j’étais maintenant dans le centre ville, avec les ruelles et les quartiers malfamés… Je m’engagea dans une ruelle, et c’est alors que j’entendis un bruit de porte de voiture, je me retourna puis vit la voiture de police, je me mis alors à courir, mais je remarqua qu’à l’autre bout, il y avait une autre voiture, je regardait donc les policiers s’approcher, lorsqu’il furent près de moi, il tentèrent de me menotter, mais je me mis à me débattre, j’en blessa un, légèrement et je leur résista le plus longtemps possible, mais étant déjà épuisé par mon combat contre les hommes de plus tôt, je finit pas m’épuiser, mais je me débattis jusqu’à ne plus avoir de force, jusqu’à tomber en genoux, c’est alors que je sentis quelque chose dans mon cou, lorsque ce fut partit, je vis que c’était une seringue et puis ensuite ce fut noir.
Lorsque je me réveilla, j’étais dans la voiture de police, menotté et deux policiers à l’avant. Je compris alors que c’était terminé. Deux jours plus tard eut lieu mon procès, je fut condamner à la peine de mort. Le lendemain, alors que je devais aller à la prison en l’attente de ma mort, on m’emmena dans une prison, dans celle-ci, je me fis particulièrement mal traité. Les deux chose qui m’avait le plus marquer dans ma vie revinrent rapidement, je ne m’approchait plus de l’eau et les cordes également. Je me fis battre et je tenta à deux reprise de m’enlever la vie. Le jour de mon exécution, deux ans plus tard, au lieu d’être emmener là où il y avait la chaise, on me fit embarquer dans un fourgon, on m’escorta dans un hélicoptère, je me débattis, mais on m’endormit de nouveau.
Lorsque je me réveilla, j’étais ici, sur cette île…
Ps: J’ai refais l’histoire à cause de l’âge, mais si quelque chose ne va pas, merci de me tenir au courant.
Dernière édition par le Dim 19 Aoû - 12:16, édité 2 fois | |
| | | MiaKym Lameï Prisonnière indiciplinée
Nombre de messages : 198 Age : 33 Localisation : Quelle question idiote... J'en sais rien moi on me l'a pas encore dit! Cellule/Rôle : A-02 Date d'inscription : 31/07/2007
| Sujet: Re: Amy Tremblay Mar 14 Aoû - 13:40 | |
| - Citation :
- Elle se fit battre et tenta à deux reprise de s’enlever la vie. Le jour de son exécution, au lieu d’être emmener là où il y avait la chaise, on me fit embarquer dans un fourgon, on m’escorta dans un hélicoptère, je me débattis, mais on m’endormit de nouveau.
Tu passe du Elle au Je ^^Mais apart ce mini détail ta présentation est parfaite ^^Validé!Ta cellule sera la C-01Re-Bienvenue et bon RP ^^(Je laisse déverouillé pour que tu modifie le Elle si tu veux, dis moi par MP quand ce sera fait ^^) | |
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| | | | Amy Tremblay | |
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