D'un someil aidant au réveille agressant

Stevensky se réveilla, assis sur une chaise.

" Mais comment, où-suis-je "

Stevensky ne s'y retrouvais plus, était-ce un rêve ? Les murs sinistres de l'infimerie le sortirent alors de son espérance, le sang coulait il posa rapidement sa main et exerça une pression.

- Un médecin, vite, à l'aide...
Son corps se crispa, il n'en pouvait plus. Il se récrovilla et ferma du plus fort possible ses yeux, attendant qu'un être viennent l'amener au paradis ou du moin le guerrire de ses affreuse blessure.

sa vision était flou, qui était cet ange au cheveux blond au dessus de lui? Avait-il succomber à sa blessures? Il ne le savait, il passa sa main sur l'endroit ou devait se trouver sa blessure.
*Un bandage?!*

- Qui êtes-vous? Suis-je mort?

Stevensky ne sentait plus aucunes douleurs, tous étaient envolées, il revoyait peu a peu les murs blancs de l'infirmerie. Sa mémoire revenait.... Le poignard... La dirigeante... Sa souffrance... tout resteraient marqués dans sa mémoire...

*Mais qui peut bien être cette personne?*

Lya réfléchit un moment en arpentant la pièce d'un pas lent et calme. Elle avait les mains dans ses poches et ses cheveux étaient soulevés à cause de la bouche d'air près d'eux. Elle s'arrêta, un sourire aux lèvres et regarda à nouveau le détenu au cheveux verts.

- Oui, moi ça va.

Elle s'approcha.

- Que vous ait-il arrivé au juste?

Le fait était que Dalia était arrivée après le "drame" - si l'on peut dire - et ce qu'elle devait c'était emmener David à l'infirmerie et ne poser aucunes questions. Alors maintenant qu'elle en avait l'occasion, sa curiosité prenait le dessus.

David fouilla dans sa poche et en sortit ses lunettes fumées, les mit puis ébourriffa ses cheveux. Une vague de douleur traversa ses côte alors que la peau s'étirait a l'endroit des points de sutures. Il se reteint de montrer sa souffrance. Il s'assis directement face à la blondinette puis commença.

- C'est elle, la femme, celle au poignard. Elle l'a sortit, après avoir tenter de me briser... elle ne m'a pas donné ma requête et m'a en plus poignarder. J'ai vue mon sang couler, la douleur m'envahir.... Puis... Le noir.

Stevensky ne comprenait pas pourquoi on le questionnait. Étaisse pour le détruire encore plus. Il ne le savait pas. Ce coup de poignard lui rappelait de mauvais souvenir. Des souvenirs passés remplie de fureur. Les souvenirs du jour qui lui avait causé tout ces problèmes. Il secoua la tête, se gifla un bon coup puis regarda a nouveau la dame.

-J'ai deux questions miss... en moin que vous n'aillez prévu de me poignarder aussi...?

Stevensky attendait une réponse avant de continuer, nul besoin de courir des risques inutiles.

David ne comprenait point pourquoi la femme le regardait avec ce regard absent. il s'étira quelque peu, puis entama.

- Premièrement, qui êtes-vous miss?.

David ésita quelque peu a poser la seconde... se demandant s'il recevrait un second coup. Après tout, elle était une femme, et c'était plutôt facile contrôler une femme.
- Secundo, pourquoi vous me demandez cela et qu-es-ce que ça vous rapporte?

Stevensky chercha autour de lui a la recherche de la petite boîte de pillule magique qui rendait sa vie si euphorique. Mais il ne la trouva pas. Elle était certainement cacher dans une armoire ou dans un placard quelque part. Il regarda donc à nouveau la femme, tentant de trouver à quoi elle pouvait bien penser.[i]

Dalia le regarda mais cette fois avec curiosité.

- Je dois t'avouer que je n'ai pas lu ton dossier. Je n'en ai pas eu le temps.

Elle croisa ses bras sur sa poitrine et commença à marcher dans la pièce, lentement se demandant pourquoi justement elle ne l'avait pas fait. Peut-être parce qu'elle ne savait pas qu'il existait avant de l'emmener à l'infirmerie. Lya n'était pas du genre à lire de la paperasse pour savoir ce qui était arrivé dans le passé des gens; elle aimait mieux questionner. C'était plus enrichissant et interessant aussi ca rester dans une pièce fermée avec des papiers c'était endormant. Elle ne releva pas la question de David cependant. Se tutoyer? Qu'il fasse ce qui lui plait!

- Alors selon-toi la curiosité est un signe d'intelligence ... je peux savoir pourquoi?

(Bonne fête au fait ^^)

Dalia reconnaissait que c'était pas super intelligent de s'occuper d'un prisonnier sans le connaître. Mais elle haussales épaules. Elle l'avait pas lu .. ben elle l'avait pas lu c'est tout. Fallait pas en faire tout un drame. Puis, elle le vit trembler. Dalia remarqua aussi que David essayait de se contrôler mais il était en nage.

- Que ce passe-t-il? Pourquoi tu trembles?

Lya se doutait que c'était à cause dela drogue mais ne lui en proposa pas. Le fait qu'il en prenne était tout à fait plausible. Ancien musicien, cheveux verts, lunettes fumées et ... drogue.

- Non je ne vois pas ça. Je ne vois pas le besoin de connaître à travers la musique. La science d'accord mais je ne vois pas le rapport entre la curiosité et le savoir des scientifiques. Ah et au fait, ici on est sur une île reculée du monde alors si tu étais connus avant, maintenant tu ne l'es plus.

( Merci ^^ )


David regarda du mieux qu'il pouvait la femme. C'était difficile avec tout ces tremblements.

- Le... Le... Le rapport? Les scientifiques était curieux de savoir ce qui adviendrais si... Et pourquoi je tremble? Durant ma carrière... j'ai peut-être abuser un peu trop d'un magnifique produit nommée Lithium... Et maintenant, malgré les cures, je suis et je reste accro.
Stevensky cherchait du regard encore et toujours un endroit ou il pourrait torouver du Lithium. Mais rien ne semblait à sa porter.

- Tu fais bien de ne pas regarder les dossiers avant la personne, car si tu le ferais, tu aurais une image et un cadre préfait de la personne...

Dalia n'était pas surprise que David prenne du ... "lithium". Elle s'en ai douter quand elle l'a vu trembler comme une feuille. Et ça ne semblait pas s'amiliorer. Elle eut soudain pitié de lui. Il en avait besoin c'était essentiel pour lui et il n'en avait pas.

- Bah ce que je vois pour le moment ne me plait pas plus. Mon idée de toi empire au fur et a mesure que tu m'en dis plus sur toi.

Un sourire méchant se dessina sur le visage de la gardienne.

- C'est dommage que tu sois si accro et que tu n'en ait pas à portée de main.

Dalia savait qu'il allait peter un cable. Elle le savait car elle commençait à l'énerver. Elle faisait exprès, juste à voir le sourire figé sur son visage. Elle faisait exprès pour qu'il s'énerve. Elle était gentille, certes, mais le petit jeu était terminé, maintenant il saurait qu'elle DÉTESTE les prisonniers d'Exil.

- Ah ha!

La gardienne commença à rire. Un rire malsain. S'il croyait sortir d'ici tout de suite, il se trompait.

- Je n'ai pas encore reçu d'ordre à cet effet et ce n'est certainement pas toi qui va m'ordonner de te sortir d'ici.

Elle ferma son point et frappa les poignets levés de David de sorte qu'il les rebaisse. C'était pas un coup fort. Une poussée disons.

Stevensky lacha un soupir sonore. Que faire... Répondre... Fuir... Combattre... Rien n'était sûre a part le manque... Le lithium.

*Devrais-je la tuer? Non. Elle n'en a point sur elle. Que faire alors? Je pourrais sortir par la porte. Non, elle va m'abbattre... Pourquoi son t'il tous contre moi et veulent ma mort...*

Il plaça ses mains le long de son corps et remarqua sa bague en or. Quelle bele bague. Elle ressemblait a une chevalière, un croix celtique en son milieu en relief. La seule penser a présent n'était que lithium. Que faire...

- C'est dangereux de jouer avec le feu miss... très dangereux... je vais finir ma vie ici alors... que ce soit maintenant ou dans 20 ans, qu'elle différence? ( Il fit un sourire en coin malgré ses yeux qui luisait de rage) Laissez-moi partir, et ce sera tout. Aucune blessure a aucun d'entre nous et une mauvaise blague passer. ( ses muscles se contractèrent) Je n'ai nul temps à perdre, et vous non plus.

Stevensky marcha vers un chaise et si asseilla puis croisa les bras. De cette manière il serait plus difficile de sauter à la gorge de cet impitoyable dame. Son manque augmentait sans cesse.

* Si je ne peux trouver de lithium, aussi bien trouver un sringue de n'importe quoi de relaxant... Dans le plus grand des malheurs.. je périrai...*

(De quelle bague que tu parles? Dalia n'en a pas)

Dalia souriait aux dires de Monsieur Stevensky. Oui ... elle allait le laisser sortir, quand Astrid ou bien Benjamin le lui demanderait. Son boulot était de le surveiller et non de lui faire prendre une marche de santé quand bon lui semblait.
Seulement, le fait qu'il soit en manque n'était pas prévu. Lya ne pouvait pas lui en donner et s'il en avait dans a cellule il ne pourrait pas en prendre. Elle marcha jusqu'aux armoires et les ouvrit. Elle les referma et regarda David à nouveau, un sourire vile aux lèvres.

- Y'a pas de lithium dans la pièce mon cher, désolée, tu devras endurer ton mal plus longtemps.

Elle croisa les bras et resta près des armoires et du même fait, les lavabos. Ils étaient à bonne distance l'un de l'autre et il ne pouvait pas s'enfuir car un gardien surveillait derrière la porte.

- Oh! Je comprend pourquoi tu veux retourner dans ta cellule! Tu as de la drogue de cachée! Ben attend, je vais appelée Astrid Kayne - celle qui t'a blesser - pour qu'elle fouille et t'enlève ton précieux lithium.

( David en porte une... en descendant ses mains il la voie et la regarde )

David bouillait, elle lui mentait c'était certain. Comment pouvait-elle. Il n'était pas un jouait. Il était SlayerDav, l'ancien guitariste reconnu mondialement. Mais au dire de Dalia, il ne valait plus rien... Il ne pourrait l'atteindre, elle était trop loin... Attendait-elle qu'il se précipite sur elle? N'attendait-elle que ça?

- Tu es la plus idiote personnes que je n'ai jamais connu... si j'ai été arrêté a Scottland Yard puis amené ici... crois-tu que j'aurais cela sur moi? Pauvre sotte... On voie ta lacheter... Jouer avec le feu tout en restant loin...

Stevensky ne contrôlait plus ses dires, il était trop furieux et sur le point de peter un cable à cause de son manque. Elle était folle... Certain souvenir lui revenait... Sa cellule... La douche... Cette fgemme ne respectait pas les ordres... mais ces arguments ne seraient d'aucunes utilités face à ce problème. Tuer... c'était sa seul envie, enlever la vie de cette gardienne. Mais quelles armes étaient à sa porté... une chaise? Non... Elles étaient vissé au sol... Ses mains restaient sa seul solution... Entre deux respirations sonores, David lessa sortir dumieux qu'il pouvait une phrase phylosophique.

- Vous savez Dalia... La patience est une très belle vertue... ( il marqua une pose... ) Sauf... Quand... On se laisse piller dessus...Réfléchissez... Imaginez... Ne croit tu pas... qu'un couroux dévastateur... POurrais-vous tuez... du moin vous blessez... Ceci est loin d'être des menaces... simplement... Des Conseil réfléchie...

David voyait rouge... il voulait juste se reposer... deux choix s'offrait à lui... jouer ou s'injecter... Un pression au plus profond de lui n'attendait que de sortire... Et à voir comment les choses avançaient... la mauvaise méthode serait choisie...

- Si tu aurait lu mon dossier... tu serais plus prudente... sur medicament, je suis brillant et calme... sur jeune... violent et agressif... deux possibilité s'offre pour me calmé... jouer ou m'injecter... mais tu as l'air d'attendre la fin du jeune... nous allons voir donc...

Un sourire machiavélique se dessina sur les lèvres du prisonier, il descendit ses lunettes dans son cou pour découvrir ses yeux rouge de colère

Dalia se moquait vraiment de David. C'était la première fois cependant qu'elle voyait un prisonnier en manque et les coups bas ne manquaient pas. Il pognait et c'était plus qu'excellent pour le moral de la gardienne. Elle sortit alors son pistolet et le posa sur le comptoir blanc à côté d'elle.

- Oui. Je joue avec le feu. Mais je ne suis pas lâche. Je te laisse une chance de pas crever aujourd'hui dans cette foutue infirmerie! J'ai l'air d'une faible mais loin de là, laisse moi te dire que ceux - comme toi - qui m'ont cru incapable de me battre sont mort ou ont été gravement blessés.

Elle ne voulait pas lui faire peur, elle voulait l'avertir. Et s'il décidait de lui sauter dessus, elle l'emmenerait dans sa cellule et il verrait de quel bois Dalia se chauffe. Plus il la traitait de tous les noms, plus elle se mettait en rogne contre lui.

- Je vois que ce que je te dis te fait de l'effet. Bravo Stevensky. Maintenant, pour moi, t'es pas juste un raté, t'es aussi un fou.

Elle prit son pistolet et le mis devant elle. Elle le mit en joue, ôta l'écran de sureté et éclata de rire. Elle remit l'écran de sureté et le posa sur le comptoir désinfecté. Il commençait à la menacer. Lya détestait se faire menacer. Elle prit alorsson flingue, avança jusqu'à lui, lui donna un coup de crosse sur la tempe et recula.

- Tu veux jouer? Alors jouons!

L'ex-mannequin était très douée au combat et si méfiante qu'il avait peu de chance de la maîtriser.

(Oublie pas que si on se bat, JE suis maître de mes mouvements.)

( ouais je sais... j'en suis à 100% conscient et je suis maître des miens )

Désarçonné, Stevensky se frotta la tête. Le coup résonnait encore dans sa tête. Comment? Pourquoi? Les seuls combats qu'il avait effectué étaient toujours sur substance illégal. Stevensky fit un croc-en-jambe à la gardienne, puis alla vers les armoires. Il les fouilla rapidement et trouva enfin plusieurs sering. Plusieurs produit étaient inconnus, jusqu'à trouvé de la phenylisopropylamine ( Amphétamine ).

* Dois-je vraiment? Pas d'autre choix *

David pris la sering tapa rapidement sur son interieur de coude et s'enfonça la pointe dans l'artère puis injecta le liquid dans son sang. Tous allaient plus vite, il sentait qu'il était plus fort et plus rapide, en fait le liquid, qui existait en pillule connu aussi sous le nom de Speed. David était
plus rapide à cause du fait qu'il avait plus d'énergie. Sa soif, son besoin, était disparu, il se sentait mieux, mais il restait encore un problème à régler...

- Oui tu te bat en lâchee miss. Pourquoi? Tu utilise comme arme un pistolet et non tes poings. Je devrais avoir peur de toi? Peut-être... Peut-être aussi que selon toi je suis un animal, mais je vais tout de même survivre...

Stevensky gardait la seringue dans ses mains. Si Dalia avait un flingue... Lui aurait cet arme qui planté au bon endroit pourait tuer. Il la remplis d'air. Si cela ne la tuait pas, elle n'irait pas très bien pour les prochain temps.

- Voyons voir comment cela va finir mademoiselle Dalia