C-06 -David [size=7]"slayerdav"[/size] Stevensky

Stevensky entra dans la miteuse cellule qui lui servirais à l'avenir de maison. Une audeur âcre planait dans l'air. La seule lumière provenait d'un petit rectangle au plafond et son lit semblait être une plaque de fer avec une couverte par dessus. Mais au moin l'objet de ses rêves était la, sa guitare sèche. Coller au mur au loin. Stevensky marcha en direction de l'objet qui l'avait rendu célèbre. Il ouvrit le boîtier et la regarda, aucune grafignures, la peinture était intacte. Il ne jourait pas tout de suite, il attenderait d'être spure de ne pas être dérangé.

Dalia suivait de près Stevensky et le garde qui les accompagnait. Il avait levé les poignet docilement ce qui était rare chez les prisonniers. Mais il avait eu sa dose de drogue alors c'était tout à fait plausible qu'il soit calme. Et puis il ne voulait pas se faire tabasser, ce qui était un atre point à considérer. Mais tout de même, Lya fut soulagée lorsqu'il entra dans sa chère cellule. Elle ne savait qu'il n'y était jamais allé alors son expression la fit sourire.

- Ah ta guitare!

La gardienne croisa ses bras sur sa poitrine et fit signe au deuxième gardien de partir.

Stevensky fit volte-face et regarda Dalia dans les yeux. Il prit une grande respiration puis regarda à nouveau le boîtier de l'instrument.
- Ouais, ma guitare... Vous-avez prévue de suivre jusqu'en enfer hein?

Stevensky leva un souricil d'un air interrogateur, puis changea rapidement d'expression vers la neutralité à nouveau. Nul besoin de s'attiré des foudres, car chez certaines personnes, un seul regard peut mener à la manifestation. David ne voulais pas prendre de chance. Il attendit tout de même de voir ce que la gardienne avait à lui dire.

Dalia se mordit la lèvre au ton que prenait le prisonnier. Il était tanné de la voir ce qui était normal. Après ce qui c'était passé à l'infirmerie. Mais il n'avait cependant pas le droit de lui parler ainsi. Il pouvait se mériter quelques coups mais Lya n'avait plus la tête à ça. Elle avait autre chose à faire aujourd'hui.
Elle décida de rester calme malgré son caractère bouillant.

- Ah si tu veux je pars!

Son ton était sarcastique, fort et hautain a la fois. Un ton étrange qui fait grincer des dents. C'était pas son habitude mais Stevensky commencait sérieusement à l'énerver. Pire même.

- Qu'est-ce que tu en dis?

Sa voix, redevenue normale, laissait paraitre son état d'esprit. Lya se fâchait rapidement mais se calmait aussi vite et subitement. Enfin ...

Stevensky sourit légèrement puis sétira les membres. Quelques craquements se firent entendrent, provenant de partout dans son corps. Puis il étouffa un petit rire.

Ce que je pense de quoi miss? De cette miteuse cellule? Ou du fait que vous allez me poursuivre en enfer?

David trouvait que le chagement rapide de la gardienne était sec, il voyait qu'elle ne désirait pas se frustré a nouveau. Ça ce sentait. Mais quelque raison restait de mise...

Un rire doux sortit de la gorge de la gardienne qui fixait intensément David. Elle se rapprocha de lui, un sourire simple aux lèvres. Elle était très séduisante avec ce sourire charmeur.

- Je te parle de partir ... je parle de te laisser seul dans ta cellule.

Elle s'avança encore plus jusqu'à sentir son souffle sur son visage. Aucune gêne, aucune peur ne se faisait sentir dans ses gestes et ses paroles. Dalia ne faisait que lui poser une question.

- Tu veux que je partes?

Cette phrase sonnait vraie aux oreilles de Lya et surment à celles de Stevensky. Les yeux bleu de la femme était plongés dans ceux du prisonnier et ils ne sillaient pas du tout. Lya était comme ça. Elle était imprévisible, elle changeait toujours d'attitude, oubliant les minutes d'avant.

David souri en voyant la gardienne s'approcher. Elle lui posait une question? Elle? Elle était tomber sur la tête, elle semblait gentille en plus. Ce devait être des baliverne selon l'artiste.

- C'est sûre qu'un gardienne comme vous doit avoir bien des choses a faire... C'est votre choix... Si vous avez prévu d'attenter à ma vie en restant... oui, partez, mais sinon...hum... vous pouvez rester. En fait...

David garda un petit mopment de silence, il pensait, réfléchissait. Et s'il y avait un moyen de sortir... De partir. Il n'avait ponit vue les alentours, mais peut-être qu'en fait ce n'était qu'une prison reculer de la civilization.

- En fait nou spourrions peut-être... ah puis rien...

Un sourire charmeur et rusé s'affichait toujours sur ses lèvres lorsqu'elle retourna fermer la porte. Elle était vérouillée, David ne pouvait pas sortir. Elle retourna vers lui mais s'arrêta à un mètre de lui. Personne ne passait dans le corridor et même si quelqu'un passait quelle importance?

- Te tuer? Non rien de tel. Ne t'inquiète pas. Je ne suis pas un psychopathe quand même.

Lya rit un instant mais repris son sérieux. Elle pencha la tête sur le côté et croisa ses mains derrière son dos.

- On pourrais faire quoi? Explique-moi.

Elle leva les mains, attacha ses cheveux bouclés blonds et croisa ses bras. Le regard de Dalia était vraiment intense.

David eu un petit soupire en entendant qu'il resterait en vie plus longtemps. Sa vie aurait été écourter et il n'aurait pas eu a souffrir dans ce monde remplie de violence et de haine. Mais il vu donc qu'il pourrait tenter de sortir rapidement. Il devait tenter sa chance.

- J'aurais crue que, bon disons que vue que je serait ici toute ma vie... J'aurais au moin pu sentir l'air exterieur et voir le soleil. Saurais été plaisant, ne croyez vous pas? En plus de me faire sortir un peu pour une des dernière fois, ça vous fait voir l'exterieur en travaillant. Non?

Stevensky tentait tout en son possible pour oir le terrain qui l'entourait. Il pourrait tenter de sortir par la suite. Il devait essayer. Pendant qu'il était encore en parfait contrôle de lui même

Un rire moqueur sortit de la gorge délicate de la gardienne, suivit d'un sourire plaisant à regarder. Elle secoua la tête de droite à gauche puis de gauche à droite. Il n'allait pas sortir de sa cellule et encore moins dehors même si, de toute évidence, il n'avait aucune chance de s'enfuir. Lya n'était pas dupe. Elle se doutait de ce que Stevensky avait derrière la tête. Elle n'allait pas se faire prendre à ce jeu.

- Ne trouves-tu pas que ta cellule est confortable?

Dalia mis ses mains dans ses poches de pantalon.

- Sérieusement, je ne te laisserai pas sortir.

David voyait que la première tentative n'avait pas marcher, il devrait donc argumenter, il ne pensa même pas à quoi dire et continua.

- Qui te parle de me laisser sortir? C'est plutôt me tenir prisonnier jusqu'à un autre district de la prison. Ce n'est nullement une sortie.

David fit un petit sourire. Il devait tenter de sortir. Et au pire des cas, il tenterait de trouver un autre endroit a aller, d'où il pourrait peut-être sortir.

- Ma cellule... elle est... moin confortable que certaines autres dison...

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