Lecture mouvementée

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Je n'avais même pas put faire deux mètres qu'un garde m'était tombé dessus, je me forçais de me rendre, et ce, sans aucunes conditions, je fessait alors glisser mes doigts sur l'un de mes bracelets avant de me faire pousser à coups de genoux vers l'édifice central. Après quoi on me demanda où je voulais aller, je répondis vers la bibliothéque, s'il y en avait une, et c'était le cas... Enfin, on me poussait encore, sûrement car j'avais voulut échapper à la surveillance de leurs collégue, mais tant pis... Je l'avais tout de même mérité, il faut se l'avouer, c'était mon côté insouciant... Enfin, après un bout de temps j'arrivait à la bibliothéque, là, on me demanda de me dépécher, avai-je fait quelque chose de mal ? Sûrement pour qu'ils me traitent ainsi, ou étai-ce la manière de ce faire comprendre d'un garde... Enfin, je me dirigeais vers les livres de SF quand, en montant sur l'échelle et retirant un livre, l'étagère craqua et me tomba sur la tête...

Lenne venait d'arriver et sa première journée de travail commençait mal. Une jeune femme, une prisonnière, était aujourd'hui sous sa surveillance. Pas trop moche, ni trop jolie, Lenne la regarda de son regard supérieur habituel. Elle l'a poussa à coup de genoux vers le batîment central, pourquoi cette prisonniére n'avançait-elle pas plus vite ? Celle-ci marmona ensuite une réponse presque inaudible à la simple question de Lenne :

-Où est-ce que tu veux aller ?

Lenne souffla. La blibliothéque n'était pas trop loin mais elle devait encore être en compagnie de la jeune femme. Impatiente, Lenne lui avait ordonnée de se dépechait. Et puis quoi encore ? Si elle, elle ne pouvait pas bouqiné pourquoi elle dirait oui à une prisonnière ? De plus, Lenne n'avait pas envie de rester debout pendant une heure dans cette blibliothèque. Ce n'était pas qu'elle n'aimait pas lire mais venir ici pour.... une prissonière... Heureusement, elle croisa une de ses amies gardiennes.

Mais rien ne se passa comme prévu. Alors que Lenne commençait une discution enflammé sur le sujet de l'accés limité ou pas pour les prisonniers, la prisonnière tomba de l'échelle et se fit assomer par son livre. Lenne paniqua franchement et voyait déjà la jeune prisonnière dans un cercueil. Ce n'était pas que cela la déranger mais elle risquerait de perdre son boulot aprés cela.

Donc, Lenne accouru prés de la jeune femme et cria à son amie d'aller chercher quelqu'un. Elle enleva tout les débris de l'échelle et enleva le livre de la tête de la jeune femme et demanda alors tout simplement :

-Est-ce que ca va ?

Tyser arriva dans la bibliothèque beaucoup de regards le reconnurent et il entendit marmoner il souffla et alla prendre un livre sur la psychologie et la manipulation. Puis il alla doucement s'asseoir seul à une table. Lisant tranquillement son livre il sortit une cigarette, la responsable de la bibliothèque fronça les sourcils il lui lança alors un regard noir et elle baissa les yeux puis il prit une bonne bouffé et continua tranquillement son livre.

Soudain il entendit un bruit sourd et vit une prisonnière tomber avec l'étagère ce qui le fit alors sourire. Il vit soudain une gardienne se précipiter pour voir si elle n'avait rien, il perdit son sourire et fronça les sourcils, il posa son livre et s'approcha lentement puis il se pencha sur la prisonnière et fit à la gardienne:

"La question n'est pas est-ce que ça va, mais as tu souffert mademoiselle, vous êtes nouvelle ici je me trompe? Je suis le directeur de cet établissement, Benjamin Junior Tyser, et je ne tolère pas que mes employés s'inquiètent du bien être de mes détenus on est clair?"

Il jeta alors ses cendres sur le visage d'Ellen toujours au sol

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J'eut à peine le temps de sortir ma tête de sous les livre qu'une géolière arriva me demandant si ça aller, je voulut prendre du temps à répondre, mais quelqu'un d'autre arriva, il commença par une pique, on doit se l'avouer, puis il se présenta en gros...

Je suis le directeur de cet établissement, Benjamin Junior Tyser, et je ne tolère pas que mes employés s'inquiètent du bien être de mes détenus on est clair?"

Ce fut son nom qui fit faire un bon à mon coeur : Tyser. J'avais déjà entendut ce nom, et je savais très bien où... Dés cet instant je peut être sûre que j'allais en baver, j'était la meurtrière de l'un de ces proche, un de sa famille : son frère. Il devait le savoir, mais je n'avais pas le temps de me posser une autre question que de la cendre me tomba sur le visage, je l'essuyait avec ma manche, déviant un peu le regard, il ne tarderais sûrement pas à me reconnaitre, mais de toute manière il allait le savoir dans très peu de temps...

-... Non... En effet je suis nouvelle... Mais je suis sûre que...

Je savais bien qu'en continuant ma phrase j'allais abrégé ma vie, mais je l'avais commencée sans même réfléchir, il allait sûrement me frapper ou carrément écrasser sa clope sur mon visage si je ne la continuais pas, mais en même temps, il risquait de le faire même si je la continuais...

-Tyser... Je connais ce nom... Hugo il me semble... ça datte un peu non...?

J'avais dit ça avec une assurance qui moi-même me surprenais... Je pensait donc que de cette manière, c'était sûr, ce n'était pas l'étagère mais tout les rayons qui allez me tombaient sur la tête...

Lenne ne dit rien en voyant que la jeune femme se relever. Apparement elle allait bien. Puis vint un grand jeune homme. Lenne ne l'aimait pas. Il dégageait... Oui, il dégageait une espéce d'aura détestable que Lenne n'aimait pas du tout. En plus, il tint un étrange discours qu'elle ne sut pas vraiment si il était vraiment pour elle ou pour sa prisonnière. Lenne préféra mieux s'éclipsait dérrière Ellen aprés avoir marmonné un leger :

-Et bin voyons... Comme si j'étais un monstre...

*Ce n'est pas que je crains pour ma peau mais je n'aime pas cet homme et puis je ne veux pas qu'il me touche... Il a l'air davoir les mains sales... Beurk !*

En plus, Lenne se voyait mal revenir chez ses parents aprés avoir disparu de la circulation une semaine avant. Alors elle restait derriére la prisonnière qui était sous sa surveillance et attendit le dévellopement des évenements. Et puis, la jeune femme avait l'impression que quelque chose liait les deux autres. Le comportement de la prisonnière laissait légèrement naître un tel soupçon en faisant allusion à un certain Hugo... comment le directeur allait-il réagir ? Lenne se posait bien la question...

Tyser lança ub regard noir à la gardienne qui semblait l'éviter, il ne l'aimait pas elle semblait bien trop gentille à son goût. C'est alors que la prisonnière parla mais il n'y prit pas garde il lui lança un regard supérieur et celle-ci semblait lui lancer une regard profond presque compatissant, pourquoi? Ça il se le demandait bien! Il reconaissa soudain les traits de ce visage, il l'avait déjà vu cette tête là, une tête qu'il avait tenté d,oublier, qui était elle vraiment, son rythme cardiaque s'accéléra alors qu'il allait ouvrir la bouche elle lui dit soudain:

"Tyser... Je connais ce nom... Hugo il me semble... ça datte un peu non...?"

Il écarquilla les yeux, c'était elle! La meurtrière qui lui avait enlevé son frère elle était là devant lui! Il fronça alors les sourcils serra les poings, si fort qu'il en saignait presque puis soudainement il lui prit violemment les joues serrant comme un fou et approcha sa tête à quelques centimètres de la sienne et fit, les yeux plein de colère et de rage:

"TU ME L'AS ENLEVÉ SALOPE!!!!!"

Il lui mit alors un violent coup de poing dans le nez puis encore jusqu'à le casser jusqu'à ce qu'il saigne puis il lui attrappa la tête et commença alors à violemment la claquer sur le carelage il était littéralement fou, fou de rage! Toute la bibliothèque regardait la scène terrorisée par la violence du directeur d'habitude si calme ...

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Sa réaction était évidente, il était violent, et il avait de quoi, mon nez saigné, et pas qu'un peu, il était littéralement cassé, un fin fillet de sang couler de celui-ci jusqu'à mes lévres puis tombait sur le sol, enfin, sur les livres, après quoi je n'eut pas le temps de réaliser ce qui se passait que ma tête claqua violament contre le sol, une, deux, trois fois... Je ne comptais pas, ça me ferrais encore plus souffrir, maintenant on pouvait voir un deuxième fillet de sang se dessiner partant de mon front, bien plus épais que le premier, j'étais en possition de faiblesse, et je ne pourrais pas me relever... De plus, vu la position dans laquelle j'était, il n'y avait pas que mon visage qui souffrait, mais aussi mon dos... Ma tête résonnait, j'entendais des échos, pourtant tout autour, tout était calme, aucun bruits à part mes gémisements et mes faibles pleurs qui ne cessaient d'être de plus en plus nombreux...

Tyser continua avec rage, répondant à ses pulsions puis s'arrêta soudain, reprenant son inspiration il lâcha la tête d'Ellen puis regarda le sol essoufflé il repensa à son frère le jour de sa mort il repensa à quand il lui tenait la main alors qu'il rendit son dernier soupir, il repensa à sa promesse, il lui avait juré de le venger et il le ferai ... Il replongea alors son regard dans celui de la meurtrière, il avait reprit son calme, il était redevenu lui même disons ... Il avait reprit cet air totallement indifférent et ce visage sur lequel aucun sentiment ni aucune faille n'est lisible. Puis il souleva sa tête en la prenant par les cheveux avec brutalité, elle était en piteux état il l'avait bien amochée il faut le dire, mais ce n'était pas fini, non il ferai bien pire que ça! Il n'allait pas la tuer, il voulait qu'elle le supplie de le tuer! Il lui dit alors d'un ton très calme très différent de ce qui avait été vu prédemment:

"Tu me trouves sadique hein? Mais tu n'as rien vu, tu vas me supplier, pas de te laisser en vie non, me supplier de mourir, je te ferai subir les pires des souffrances ce que tu as eu aujourd'hui n'était qu'une mise en bouche, je vais te faire payer ce que tu as fait, je vais te faire payer ce que tu as fait à mon frère!!"

Il jeta sa tête au sol brutalement puis il se leva regardant la prisonnière puis il fit soudain à lenne d'un ton calme:

"Aidez là à aller en isolement ce sera dur avec une jambe"

Puis il sortit soudain son pistolet et tira trois balles, deux dans la cuisse etune dans le genou ...

Lenne allait lui crier dessus, le frapper jusqu'au sang et même si son dégout pour toucher les autres, elle l'aurait assasiner de ses propres mains ! Personne ! Personne n'avait le droit de souffrir comme cela même si il avait tué quelqu'un. Elle, elle l'aurait tué sans qu'il ne souffre... Pas là, dans cette prison à croupir comme... un animal et être doucement torturé jusqu'à ce que la personne devienne folle. Lenne n'aimait pas cette endroit où elle travaillait si cet homme qui était son chef.

Et à l'intérieur d'elle-même, Lenne se promit d'aider un peu les prisonniers, sans pour autant en craindre pour sa propre sécurité. Lenne grimaça alors et souleva la jeune femme en mettant son bras autour de la taille de la jeune femme. Elle était gravement blessé et du sang coulait, beaucoup de sang.

Lenne gromella, elle n'aimait pas trop les contact humains et la voilà obliger à trainer une femme dans les couloirs. Elle n'oubliera pas cela ! Et ainsi, Lenne porta Ellen jusque dans une cellule d'isolement comme lui avait demandé le chef...

cellule d'isolement.

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