Une arriver comme on en voie peu [terminé]

David avait une douleur execive dans ses bras, dans c'Est jambes et au cou. Il sentait que son corps était très lourd. Les gardes de ScottLand Yard n'avait surement pas apprécier que Stevensky raconte une blague au chef de l'endroit...

"On peut m'enlever ce sac de sur ma tête? S'il vous plaît? Car je voie rien et je veux voir le paysage. À oui et pendant que j'y pense, détachez-moi, je veux me dégourdir les jambes..."

" Ta gueule, Punk."

" Quoi connard de garde?! "

" J'ai dit tait-toi putain de british."

L'hélicoptère se posa, on détacha David et il pu enfin bouger. La drogue qu'on lui avait injecter plus tôt devait avoir de grand effet secondaire, mais bon, il s'en balançais car il savait que la mort l'attendait. On l'amena dans une salle cirulaire ou on le força à s'assire. Il sentait que son esprit devenait de moin en moin stable, il manquait de lithium et il avait une envie folle de jouer de la guitare.

" On peut en finir? Pas besoin de me présenter un type que je ne revairais plus jamais, tirez moi une balles qu'on en finisse"

Mais personne ne répondait , il était mainteant seul dans cette salle... Il alla donc s'acoter a un mur en attendant que quelqu'un vienne lui règler son compte.

Deux gardes entrèrent d'un pas rapide et décidé dans la pièce pour venir menotter le prisonnier à une chaise alors que la dirigeante pénétrait la pièce en parcourrant rapidement un dossier, le dossier du prisonnier. Lorsque les gardes urent immobilisé le prisonnier sur la chaise, ils se placèrent de chaque cotés de la chaise sur laquelle se trouvait le prisonnier en ayant reculés d'un pas pour l'avoir dans leur champ de vision.

Astrid vint alors près de la petite table opposé à la chaise et y jetta négligeamment le dossier et en sortant une cigarette. Elle l'alluma et prit une grande bouffé qui la détendit un peu. Elle avait eut une grosse journée d'arrivage aujourd'hui et elle travaillait maintenant depuis 2 semaines sans pause. Elle se dit à ce moement qu'elle irait bien relaxer un peu après ce prisonnier avant de se retourner pour observer le nouveau venu.

- Alors c'est ça le fameux Stevensky? Ma fois je suis grandement déçu. Tu es bien sûr de ton identité gamin?

Elle faisait absolument exprès de le mettre en rogne contre elle. Après une grosse journée ennuyeuse, elle avait bien envies de s'amuser une peu.

Stevensky ficha longuement la femme. Il l'examina de la tête au pied puis la dévisagie. Il tourna ensuite sa tête pour voir que les deux garde ne le regardait pas. Les menottes lui faisaient affreusement mal.

( avec son accent british ) - Il est où votre flingue miss? Car la j'attend juste que vous purgiez ma peine. Mais je n'ai qu'un demande , enlevez moi ces foutus menottes et donnez moi un peu de ce bon vieux lithium... Car la je me sent à bout.

Il transpirait, la chaleur était intense dans cette salle. Sa respiration se fit plus rapide et plus sonore. Il détestait le ton qu'employait cet femme pour lui parler. Comment pouvait-on parler comme ça à une personne a qui on allait bentôt enlever la vie. Il la regarda avec un regard de défi puis de folie. Il ferma ensuite les yeux et baissa la tête.

- ( en chuchotant ) donnez-moi du lithium... ( en hurlant ) MAINTENANT!

( P.S. j'essaie de venir, mais mon internet n'accepte toujours pas ce site... donc... je vais faire du mieux que je peux, s'il vous plait, ne supprimer pas mon compte. J'apprécie beaucoup ce forum .)

Astrid n'accepta pas du tout le ton qu'employait le prisonnier à son égard. Elle allait bien évidemment très vite lui montrer qui commendait entre ses murs et ce n'était très certainement pas un jeune drogué. L'expression de son visage se renfrogna, elle allait se mettre en furie à la prochaine arrogance du détenue et elle arriva plus vite que prévu.

La dirigeante n'allait très certainement pas accepter qu'on lui hurle de la sorte un ordre alors qu'elle dirigeait! Sa furie remonta à une vitesse éclaire et elle porta la main à sa ceinture pour y prendre son arme à feu, mais pas par le manche. Elle porta un puissant coup à la mâchoir de David avec le manche de son arme et dans le même mouvement d'élant, elle s'approcha de lui.

- LE VOILÀ MON FLINGUE! Tu es content maintenant?

Toujours avec le manche de son arme, elle lui releva le visage pour qu'il la regarde bien en face. Elle voulait avoir absolument toute son attention.

- Écoutes moi bien maintenant. Ici tu n'es pas dans une prison comme les autres. Ici c'est la mort entre ses murs et je ne dis pas ça parce que vous êtes tous condamnés à mourrir. Vous l'êtes tous. Mais ici vous ne mourrez pas rapidement, mais lentement, comme des cobailles, de vulgaires rats de laboratoire. Je te conseil également, si tu ne souhaites pas que la torture soit trop forte et intense pour toi, de respecter le personnel de la prison et spécialement les dirigeants. Dont moi. C'est claire?

Jamais personne n'avait parlé sur ce ton face à Stevensky. Tous le monde lui avait toujours voué une grande alllégence en le nommant dieu du rock et tous les similarités. Ceci le frustra.

* c'est ça la peine de mort... cette femme...*

Il regarda le sol et cracha au pied de la dirigeante du sang qu'il avait dans la bouche à cause du coup puis fixa la femme d"un regard de braise.

- Merci pour le flingue, disont que votre côté de terreur vient de passer de 0 a 1 sur 100.

La rage montait. Il sentait l'adrénaline venir et venir quand tout à coup il apperçu une mouche, il l'a suivit longuement du regard, ses mouvements souples et calmes. Quand tout à coup, un des gardes à côté de lui l'écrasa rapidement... Il vit alors sa vie dans ce qui était arrivé à la mouche... et le garde qui l'écrasait était la drogue qui pesait sur ses épaules. Tremblant de tout par il tenta de casser les menottes , mais en vain il c'était plus fait mal qu'autre chose. Il approcha alors son visage de celui de la dirigeante et entre ses dents articula en la regardant d'un regard frénésique.

-Que voulez-vous de moi!

Astrid n'eut d'autre réaction en voyant le prisonnier lui cracher aux pied, que de le regarder avec un regard de tel méprit qu'on aurait dit qu'elle allait lui sauter au visage. Mais elle ne le fit pas, du moins pas pour l'instant. La remarque du prisonnier changea parcontre son expression, qui passa de la colère à l'amusement. Il venait tout juste de lui lancer un défi, probablement sans s'en appercevoir.

La dirigeante était bien prête à lui montrer de quoi elle était capable, mais elle décida de ne lui donner seulement un avant goût afin de ne pas décevoir le prisonnier en le privant de pire plus tard. Elle sortit alors son canif et plaça une main sur son épaule en approchant son visage afin d'être plus près de lui. Ceci dans le but de détourner suffisament son regard pour qu'il ne disserne pas le couteau pointé devant son ventre.

- Ce que j'attend de toi? Très simple. Tu feras exactement tout ce que je te demanderai de faire et tu ne me manqueras plus jamais de respect ou alors tu pourras te regarder en train de te vider de tes tripes.

Sur ces dernières paroles, elle lui enfonça le canif asser profondément dans l'estomac. Elle se pencha ensuite à son oreille pour lui chochuter son dernier ordre de la journée.

- Maintenant tu vas être un gentil garçon et suivre les instructions des gardiens ou alors je reviendrai te voir pour terminer mon travail.

Elle retira alors son arme du corps du martire et se tourna vers un garde pour le lui tendre.

- Nétois mon arme et astique le avant de me le ramener. Ensuite tu emmèneras le prisonnier à l'infirmerie avant qu'il ne regagne sa cellule. Oh, et donnes lui également une douche glacée afin de calmer sa crise de toxicomane.

Sur ses paroles elle quita la pièce en ne jetant qu'un bref regard au prisonnier qui la dégoûtait déja. Celui-là, elle n'y toucherait absolument pas.

Noir , le monde devenaitnoir sous les yeux de Stevensky, aussi noir que de regarder un projecteur puis la foule en délire devant un spectacle. David ne comprenait ce qu'il lui arrivait. Il sentait une douleur affreuse au ventre, rien de tel ne lui était arriver depuis plusieurs année. Il avait peur, ou étaissent la haine... Il ne le savait pas... Il ne pouvait même pas presser sa blessure pour l"empêcher de saigner.

- A..Ai..S'il...Je...Aidez-moi...

Puis le noir... Les gardes le détachèrennt et emenèrent le corps flasque vers l'infirmerie.
[ Vers l'infirmerie ]

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