Appartements de Miss Kayne

Benjamin avança tranquillement dans les vastes couloirs là où se trouvaient es deux plus grands locaux de la prison ses appartements et ceux de sa seconde Miss Kayne. Il arriva devant la porte de celle-ci, il avait sous son bras beaucoup de dossiers, il venait la voir pour faire un bilan sur les prisonniers et sur leurs façons de procédés et si ils avaient des choses importantes qu’ils auraient apprises à se dire. Il se souvint de leur première rencontre elle avait clairement tenté de le séduire, remarque tisser n’avait que rarement refusé les avances d’une femme surtout aussi belle qu’Astrid, mais lui résister était amusant, c’était comme un jeu, il aimait bien cette femme, elle était un peu bizarre mais avait son charme, puis elle était sûrement une des seules personnes à être aussi sadique que lui avec les prisonniers. Bref après cette réflexion sur elle, chose qui lui ressemblait peu habituellement il faut le dire il sonna.

Astrid était retourné à ses appartements pour faire une petite pause de travaille d'une petite heure. Travailler ne lui déplaisait aucunement, mais voilà bien trois semaines qu'elle n'avait pas prit de congé et elle se permettait bien à ce moment une petite pause pour relaxer un peu dans un bain chaud.

Comment une femme, même une femme aussi sadique qu'elle, pouvait-elle résister à l'envies de prendre un bon bain? Voilà maintenant plus de 10 ans qu'elle n,avait prit un bain. Dans l'armée, il n'y a absolument aucune baignoire, les douches sont de mises et commune par dessus le marché. Elle avait bien entendu été ravies de voir une baignoire dans ses appartements.

Elle était en train de relaxer dans l'eau chaude lorsqu'on sonna à sa porte. Sûrement y avait-il un problème avec un prisonnier? Elle sortit alors de la baignoir et enfila une serviette autour de sa taille, serviette manifestement plutôt courte, et sortit de la salle de bain pour aller répondre à la porte de ses appartements. Elle ouvrit la porte et fut plutôt surprise de voir son partenaire de direction et son voisin de palier également devant sa porte.

- Que me vaut l'honneur de ta visite Benny? Du boulot à ce que je vois.

Astrid s'était adossé sur le cadre de la porte en croisant les bras sur sa poitrine, en oubliant certainement pas de lui dédier un petit sourire malicieux ainsi qu'un regard très invitant. Elle ne fit pas plus de cérémonie et entrant dans ses appartements en ne refermant pas la porte, la laissant grande ouverte, invitant, sans mots dire, le directeur à y entrer. Elle se dirigea vers sa cuisine où elle s'assit sur le coin du comptoir, les jambes croisés.

- Je n'ai pas eut de visite depuis des années et je ne sais trop comment être courtoise. Je t'offres un verre?

Ben vit Astrid lui ouvrir après un certain temps, telle ne fut pas sa surprise de la voir vêtue d’une si courte serviette, il ne put retenir un air entre la surprise et l’admiration, ceci dit il s’empressa de reprendre son air indifférent et fit d’un voix calme:

"Oh je te dérange peut-êtr …"

"Que me vaut l'honneur de ta visite Benny? Du boulot à ce que je vois."

Elle l’invita alors à entrer en allant directement dans sa cuisine Tyser sourit et murmura:

"Visiblement non"

Il ferma la porte derrière lui et s’avança dans l’appartement qui au niveau du luxe n’avait rien à envier au sien il fallait l’admettre! Il vit des fauteuils et une table basse il s’installa dans l’un d’eux et posa les dossiers sur la table basse il entendit alors Astrid lui demander:

"Je n'ai pas eut de visite depuis des années et je ne sais trop comment être courtoise. Je t'offres un verre?"

"Et bien fêtons cette visite dans ce cas, je vais prendre un Whisky"

Il s’assis et se détendit, il était plutôt à l’aise à dire vrai seule la tenue d’Astrid le mettait un peu mal à l’aise, pas que ça le gênait, c’est surtout qu’il n’y était pas insensible et qu’il n’aimait pas montré ses sentiments ou ses pensées

Astrid le vit bien se mettre à son aise et eut un léger sourire en coin alors qu'elle constatait qu'il faisait outre le fait qu'elle soit à moitié nue. Elle ouvrit alors l'armoire pour prendre un verre et y versa le Wisky qui était d'ailleurs déja sortit. La dirigeante avait quelques habitudes cachées. Elle se versa également un verre et alla le rejoindre dans le salon.

- Eh bien, eh bien! À ce que je vois on se met déja à son aise.

Elle se plaça alors devant le directeur en prenant bien soin de placer chacunes de ses jambes de chaque côté de la sienne et lui tendit le vers avec un sourir légèrement malicieux. Pour Astrid, le jeu venait de commencer.

- Santé?

Elle vida alors son verre d'un coup sec, fermant les yeux pour savourer le goût de la boisson descendant dans sa gorge doucement, la tête légèrement vers l'arrière.

Tyser sourit à sa réplique c’est vrai qu’il s’était vite mis à son aise, il faut dire qu’il se sentait à l’aise alors … Il la vit s’asseoir de façon très aguicheuse, sa serviettes très courte laissait facilement deviner les formes voluptueuses de son corps. Tyser laissa échapper un regard sur sa poitrine presque à découvert puis se reprit quand elle tendit son verre il leva le sien et le bu également cul sec sans avoir le moindre rictus, il était habitué au Whisky il fallait le dire. Il posa le verre vide et fit alors d’un ton calme:

"Bien, je viens pour faire une sorte de bilan disons, nous avons tout deux accueilli pas mal de prisonniers et donc peut-être des informations intéressantes à échanger, nous avons pas mal de temps devant nous alors c’est pourquoi je suis venu te rendre visite il y a dans ce dossier un rapport sur tous les prisonniers que j’ai visité, tu peux le feuilleter si tu veux."

Astrid fut légèrement déçut qu'il reprenne le sujet du boulot, mais ne se laisserait certainement pas abbattre comme ça. La dirigeante était farouche et avait très certainement plus d'un tour dans son sac. Elle reposa son verre et reprit son aire sérieux habituel.

- Bien alors voyons voir... La pluspart des prisonniers que j,ai acceuillit dans la prison son des pleurnichards, s'apitoyant sur leurs sort et blabla, maman m'a fait souffrir, papa me battait, rien de vraiment très distrayant. Si non pour ceux qui ont marqués il y à Mike et Tina Chelfley, un frère et sa grande soeur tous deux mertriers. Tina ayant été une pute de luxe et son jeune frère ayant fait partit de la mafia assez tôt. Les deux ignorent qu'ils se trouvent à la même place par dessus le marché.

Astrid fit une légère pause, riant bien de la situation des deux prisonniers ignorant que la famille est enfin réunies. Puis elle reprit son sérieux après avoir fait une petite réflexion, avant de reprendre.

- Ensuite il y a eut Damian Tshaka. Un revendeur de drôgue puant qui croit que le fait qu'il ait vécu dans un guetto de violence le justifit d'être tombé aussi bas et d'être ce qu'il est. Je viens pourtant du même coins et je traite les pourris dans son genre. Ensuite... Riwanon Clec'h. Une autre brallarde accros à l'héroïne et qui crois encore qu'elle est condamné à mort et qu'elle subira la chaise électrique ou je ne sais trop à chaque matin qu'elle se lève. Elle semble également retourner à son enfance lorsqu'elle souffre. Un cas typique de maladie mental.

Tyser fut surpris de voir qu’Astrid était sérieuse au niveau travail qualité qu’il ne connaissait pas encore d’elle et appréciait pas mal. Il ouvrit alors son dossier et fit d’un ton calme:

"Tant qu’à moi relevé ces noms, Damian Tshaka, je l’ai aussi rencontré il m’a l’air drogué et gentillet c’est le genre à aider son prochain, aucun rée intérêt, Lily-Rose Kavanagh je n’en parle même pas, juste une gamine qui pleure et ne sais même pas pourquoi elle est là, elle a tué sa famille mais ne semble même pas s’en souvenir, Kam I. Yadori un psychopathe avec un masque se faisant appelé Halloween, amusant disons mais vite lassant, Amy Tremblay, un garçon manqué qui n’est pas très locace, pas de grand interet non plus, elle a tenté de se rebeller mais fut très vite calmée, par moi d’ailleurs, Kayumie Biyushy, une japonaise qui ni ne parle ni n’agit, strictement aucun intérêt, et j’en viens à deux cas spécifiques; Kaze Edgecombe, une ancienne gardienne qui n’a pas voulut m’obéir alors je l’ai fait prisonnière, pour ne pas te mentir c’est un exemple pour que les gardiens nous obéisse au doigt et à l’œil, je pense que ça fonctionnera de plus ça les encouragera à se comporter comme nous, et Ellen McGregor, c’est une fille qui te paraître ordinaire mais je veux qu’elle souffre, particulièrement celle la, je veux qu’elle te supplie à genoux de lui donner la mort!"

Il se tût et lui laissa le temps de réagir à ce qu’il venait de dire

Astrid prit un moment, le temps d'assimiler parfaitement tous les noms pour pouvoir en garder un portrait. Elle tenterait sûrement par la suite d'aller voir d'elle-même les prisonniers en question pour se faire également son idée de leur compréhention des règles. Mais le dernier cas la laissa un peu perplexe, pourquoi vouloir spécialement faire souffrir Ellen?

- Bien je vois le portrait type de chacuns, je me rapellerai. Mais une chose m'intrigue. Pourquoi vouloir à ce point la torture de Miss McGregor? Pourquoi elle plus qu'une autre?

Elle voyait bien à l'éclats de rage dans ses yeux qu'elle l,avait offencé à un point innimaginable de surquoit et elle comptait bien être mise au courant.

"Bien je vois le portrait type de chacun, je me rappellerai. Mais une chose m'intrigue. Pourquoi vouloir à ce point la torture de Miss McGregor? Pourquoi elle plus qu'une autre?"

Tyser ne répondit pas tout de suite il avait les yeux dans le vide et les sourcils froncés il repensait à l’enterrement de son frère, il reprit alors sur lui et répondit alors de son air indifférent:

"Je vais te faire un confession, si je suis ici, je suis si cruel avec eux, c’est parce qu’une meurtrier a tué mon frère par le passé, et qu’ils doivent tous payer, tous les meurtriers, je ne vis que par cette vengeance. Et cette prisonnière, c’est elle qui a tiré sur mon frère ce soir là."

Il se leva alors soudain pour être bien en face d’elle et il fit alors:

"Bon on se ressert un verre? On a du temps devant nous après tout, à moins que ma présence t’incommode tu es toujours en serviette."

Astrid fut assez surprise qu'il lui fasse cette confidence. Il semblait être un homme qui ne voulait en aucun cas laisser parrettre ses faiblesses, un peu comme elle-même. Elle ne pouvait pas non plus comprendre pourquoi il avait autant cette rage de vangeance, elle qui détestait la famille et qui n'avait pas de soeur ni de frère à qui se rattacher. Elle n,avait personne, et ce vide, bien que ne la touchant aucunement, ne lui permettait pas de comprendre ce que pouvait ressentir Ben.

Astrid le regarda se lever et s'approcher d'elle et eut un petit sourire en coin malicieux. Il voulait ravoir un verre? Elle comptait à plus. Elle se releva alors sans lui répondre immédiatement, prit son verre et arriva assez près, même plutôt près du dirigeant. Elle lui prit son verre également.

- Si ma serviette te gènes à ce point, retire là.

Elle lui dédia un dernier regard de malice avant de se diriger à nouveau vers la cuisine pour reverses les verres.

Tyser la vit lui dédier un sourire malicieux et lui demander d'enlever sa serviette, c'était plus que tentant il devait l'admettre, à dire vri Tyser n'avait pas connu de femme depuis un certain temps, depuis la mort de son frère en fait, à la il fallait admettre que la situation s'y prêtait puis il devait se changer les idées après s'être confessé, d'ailleurs il ne savait pas vraiment pourquoi il avait dit tout ça à Astrid, mais en tout cas ce qui était fait était fait. Cette femme avait un certain pouvoir sur lui, elle l'attirait c'est vrai, ceci dit Tyser n'admettait pas vraiment cette idée, il avait du mal avec les sentiments deuis la mort de son frère. Il s'enleva cette idée de la tête et la suivit dans la cuisine puis sans gêne et délicatement il lui enleva sa serviette la laissant paraître complètement nue mais de dos il lui dit alors dans l'oreille:

"Voilà qui est fait et maintenant?"

Astrid avait eut le temps de versser un verre avant que Ben ne la rejoigne et lorsqu'il fut derrière elle, le deuxième verre se remplissait. Elle sentit alors les mains du dirigeant lui retirer doucement et sans gène sa serviette alors qu'elle terminait de remplir les verres. Allaient-ils les boire?

Astrid se retourna alors qu'elle était complètement nue et n'ayant elle non plus aucune gène, elle regarda Ben un instant. Il semblait bien que les deux allaient bien s'entendre pour la prochaine heure. Elle se rapprocha alors de lui et prit sa cravate et commença à jouer avec avant de relever un regard séducteur pour lui répondre enfin.

- Je ne sais pas. Je me retrouves nue devant un homme habillé, je ne suis pas en avantage en ce moment. Qu'est-ce qu'un homme et une femme peuvent faire si l'un est nu alors que l'autre est encore vêtue?

"Je ne sais pas. Je me retrouves nue devant un homme habillé, je ne suis pas en avantage en ce moment. Qu'est-ce qu'un homme et une femme peuvent faire si l'un est nu alors que l'autre est encore vêtue?"

"Et bien il y a deux solutions, car il faut équilibré les choses, soit la fille se rhabille met comme je vienx de te déshabiller ce sreait contradictoire, soit la fille déshabille l'homme et ..."

il approcha alors son visage très près du sien mais sans en faire plus

"... Et il n'y a pas 36 choses qu'un homme et une femme font une fois nus l'un et l'autre ..."

Astrid garda afiché son petit rire en coins malicieux dont elle avait les secrets alors que Ben se rapprochait d'elle. Ses mains glissèrent lentement de la cravate et atteignirent la ceinture du dirigeant alors que leur visages étaient très près l'un de l'autre. Astrid eut un léger agrandissement de son sourire.

- Je crois que la deuxième option est la meilleure.

Gardant son visage près du siens sans rien n'ajouter de plus ni faire de gestes autre que de détacher la ceinture et la faire glisser doucement le long de la taille de Ben pour la retirer entièrement. Elle laissa alors tomber la ceinture sur le sol dans un bruit qui brisa le silence momentané qui régnait dans l'appartement.

- Il n,y a peut-être pas 36 choses qu'un hommes et une femmes peuvent faire une fois nues, mais il y a bien 36 façons de le faire...

Sur ses derniers mots, la dirigeante reprit la cravate et tira sur celle-ci pour coller ses lèvres aux siennes sans lui échanger toutefois un baisé.

- Montre les moi...

Il la laissa lui enlever sa ceinture, il ne détachait pas son regrd du sien puis elle l'embrassa alors il répondit à son baiser mais avec plus de fougue il s'avançait pour qu'elle s'installe sur le comptoir, il enleva sa chemise et sa dcravate pour se retrouver torse nu tout en mettant plus e fougue dans son baiser il avait maintenant une main dans les cheveux d'Astrid et une autre balladeuse sur ses fesses il décolla alors soudain ses lèvres des siennes et lui dit dans un murmure:

"Très bien, mais ça risque de prendre plus qu'une petite heure ..."

Elle fut légèrement surprise de la fougue de son baisé mais n'y porta pas plus attention que ça et se laissa emporter. Celà faisait quelques années que la dirigeante n'avait pas connu d'homme et à son arrivé elle s'était faite un adolescent qui l'avait déçut. Elle espérait bien que le dirigeant serait un vrai homme.

Comme il se rapprochait d'elle, la forçant à monter sur le comptoir, elle renversa sur le sol les deux verres de wisky, dont elle n'y porta alors aucune attention. Il décolla alors ses lèvres de celles de la dirigeante et celle-ci s'arrêta alors la respiration légèrement halletante.

"Très bien, mais ça risque de prendre plus qu'une petite heure ..."

- Je ne demande qu'à voir...

Elle lui sauta alors à la bouche pour lui échanger un autre baisé, tandis que ses mains s'occupaient de la dernière partie de Ben qui n'était pas à découvert et elle lui retira son pantalon.

Il continuait la fougue de son baiser son caleçon, en fait ce qu'il lui resta glissa tranquillement pour le laisser complètement nu, il était presque collé à elle, enivré par le désir, il plaça alors sa main proche de sa partie intime de plus en plus, ses lèvres descendirent au niveau de son cou alors que sa amin était sur sa patie intime puis deux de ses doigts la pénetrèrent alors qu'il couvrait son cou de fougueux baisers

Astrid profitait bien des caresses intimes que lui procurait Ben et fermait les yeux sous l'extase que cela lui procurait. Ses mains aussi devinrent baladeuses et elles se promenèrent sur le corps du dirigeant alors qu'elle appréciait de plus en plus les caresses qu'elle recevait.

Alors que les doigts de Ben explorèrent l'intimité de sa seconde, celle-ci ouvrit les yeux et poussa un hoquet de surprise, suivit par un soupir de satisfaction. Elle resta alors accoudé au comptoir et cambra la tête vers l'arrière en se cramponant à son partenère, la respiration de plus en plus halletante.

Il continua ainsi avec ses doigts voyant que la dirigeante prenait du plaisir son autre main vint lui caresser le sein alors que ses lèvres remontèrent jusqu’aux siennes pour lui donner un langoureux baiser. Puis il retira ses doigts et il lui murmure alors à l’oreille:

"Maintenant on va passer aux choses sérieuses!"

C’est alors que ses mains attrapèrent ses cuisses et que son membre la pénétra brutalement

Sur le coup, lorsque Ben l'aggripa pour la tirer vers lui, elle tomba le dos complètement au comptoir et frappa la bouteille de wisky qui vola en éclat sur le sol de la cuisine au même moment où la dirigeante poussa un crie dut à la pénétration brutale.

Les gémissements suivirent avec le rythme des coups de bassin et Astrid chercha à toucher Ben de nouveau. La peau de son dos commençait peu à peu à s'irriter sous les mouvements de friction sur le comptoir et la dirigeante grimassait légèrement.

- Tu me dois déja une bouteille de wisky...évite de briser autre chose si tu ne veux pas me devoir d'avantages...

"Tu me dois déja une bouteille de whisky ... évite de briser autre chose si tu ne veux pas me devoir d'avantages ..."

"Vraiment? Je peux te payer en nature?"

Il la porta alors tout en continuant de la pénétrer et en lui donnant un langoureux baiser puis il se jata avec elle sur le tapis de la pièce à côté allongé alors sur elle il continua ses coups de bassins répétitifs, en effet l’endroit était plus confortable pour l’acte …

"Vraiment? Je peux te payer en nature?"

- Tout dépend si tu paies bien...

Astrid acceuillit son baisé alors qu'il la redressait pour pouvoir la transporter ailleurs et y répondit avec tout autant de fougue. Son manque d'être avec des hommes devait très certainement se faire ressentir dans ses mouvements. Elle poussa à nouveau un crie alors qu'il la jetait sur le tapis du salon mais la position était effectivement plus agréable ainsi. Astrid releva même les jambes dans le dos de Ben sous le plaisir et ses ongles caressèrent son dos.

Ben intensifia le mouvement prenant un maximum de plaisir il constata qu’Astrid aussi dans es mouvements, bref il alla plus fort et plus vite dans ses coups de bassins ses lèvres étaient toujours collées à celles d’Astrid il était enivré par le désir, ça faisait longtemps qu’il n’avait pas connu de femme trop longtemps, et là ce moment avec Astrid était vraiment excellent, cette femme l’attirait c’est certain. C’est alors que Tyser se redressa à genou et il prit brutalement Astrid aux hanches pour la pénétrer plus fort

Astrid sentait l'excitation qui montait de plus en plus ainsi que le plaisir. Ces sensations lui avaient tellement manqué... Lorsque Ben se redressa à genoux pour l'aggriper encore une fois et y aller plus fort, ses gémissements augmentèrent également. Elle se sentait femme avec lui, elle se sentait séduisante et aguichante, plus qu'avec les autres qu'elle ai put connaitre.

Après un moment dans cette position, Astrid se redressa doucement et vint en position assise sur Ben pour lui échanger un long baisé dont elle avait soudainement très envies. Elle le poussa alors pour le faire basculer sur le dos et se pencha sur lui pour aller lui murmurer à l'oreille.

- J'ai également deux verres qui ont été sacagés...comment me les paieras-tu Benny?

Tyser la laissa le pousser sur le tapis, cette femme avait du caractère et de la poigne il aimait cela, il répondit tendrement à son baiser alors qu’après elle lui demanda:

"J'ai également deux verres qui ont été sacagés ... comment me les paieras-tu Benny?"

"Commençons par rembourser la bouteille les verres viendront plus tard"

Puis il repénètra Astrid mais cette fois c’était elle au dessus de lui et non l’inverse

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