Bureau d'Astrid Kayne

Astrid entra dans son bureau et laissa la porte ouverte pour que son ancien mentor maintenant devenu un soldat à sa charge, puisse la suivre et y entrer. Elle se dirigea alors vers son bureau où elle laissa le dossier du soldat tomber sur une autre pile de doccuments dont elle devait s'occuper et dont elle avait terminé, une autre pile était placé de l,autre côté du bureau, ceux qu'elle n'avait pas encore épluché.

Elle se tourna alors vers son nouvel arrivé et s'assie sur le rebord de son bureau et croisant les bras et les jambes tout en faisant maintenant face au soldat. Elle avait son expression habituel qui se voulais innexpressif, voilé, ne laissant rien parraître.

- Vous pouvez refermer la porte et vous assoir, nous allons discuter.

Invité

- Bien Madame!

Il s'execute sur tous les points. il entre, puis il ferme la porte derriere lui, le plus silencieusement possible. Puis, lançant un regard rapide autour de lui, il detaille aussi vite que possible chaque objet, chaque positionnement. peut etre en tirait-il des conclusions sur la personnalité de sa superieure...
Cepenant, il restera debout derrière la chaise qui lui est destinée. Pourquoi? parce qu'il est trempé.
Cependant, il ne se démonte pas, il reste droite, en position de repos derrière ce siège.

- Merci, mais non, Madame!

Astrid eut alors un long soupir d'agacement. Les "Madame", elle ne les supportait pas dut tout et elle devrait alors le lui mentionner avant de devoir faire réparrer son bureau. Elle prit alors son ton autoritaire qui ne se voulait pas du tout argneux mais qui laissait bien enttendre qu,elle désirait l'obéissance.

- Les "Madame", Mr Jordan, je vous prirais de les garder pour quelqu'un d'autre. J'ai beau être votre supérieure il n,en demeure pas moins que je ne suis pas encore à ce stade. Ici c'est Miss Kayne et je compte bien sur vous pour vous en rappelez.

Elle le regarda un instant pour être parfaitement sûr d'avoir été comprise, puis elle reprit alors la parole en sortant son paquet de cigarette et en en prennant une sans toute fois l'allumer.

- Avez-vous certaines question tout d'abbords pour commencer en ce qui concerne ces lieux ou vos fonction?

Invité

Aucun problème pour lui. Il acquiesse donc de la tête en disant:

-Oui Mada... Ahem... Oui Miss Kayne.

Mains dans son dos, il regardait droit devant lui. Il ne la fixait pas directement. Houuuu non, ce n'est pas une chose à faire. regarder un supérieur dans les yeux, c'est le defier, et il a bien trop de respect pour ces principes de hierarchie pour oser la regarder.

- Oui Miss Kayne, j'ai plusieurs question. Premierement, j'ai bien compris que nous étion sdans une prison, mais elle n'est référencée nulle part... où sommes nous donc?

Il attend une réponse avant d'enchainer ses autres questions.

Astrid se redressa alors et décroisa les bras de sur sa poitrine pour se diriger lentement derrière son bureau où elle resta debout tout en parlant au soldat qui semblait se prendre un peut trop au sérieux à son goût. Ils n'étaient plus dans l,armée et ne devait donc pas à avoir toutes ses postures ridicules.

- Tous d'abbords, nous ne sommes plus dans l,armée à présent et vos postures peuvent être d'avantage relâché je vous en serai grés. Pour ce qui est de cette prison, vous êtes maintenant sous le secret gouvernemental et international. Cette prison n,est connu de personne, exception faite de ceux qui s'y trouve et de quelques personnes haut placé du gouvernement et de l'ONU. C'est ici que sont envoyé les pire criminels condamnés à mort, qui ne dérenge plus personne à l,extérieur, et sont ici pour connaître le pire des calvaires. Ils subissent des expériences qui restent dans le secret de l'État et qui peuvent également nous ammener à connaître de nouvelles formes de tortures et autres produits mortels ou pratiquement. Voilà où vous vous trouvez. Une prison isolé à sécurité maximal qui n'existe pas.

Invité

A peine eut-elle prononcé les premiers mots de sa phrase, qu'il s'execute en meme temps. Prenant appuis sur sa jambe droite, il plie legerement la jambe gauche. Pendant ce temps, il croise les bras. Il ne la regarde toujours pas dans les yeux. Toujours le regard fixe devant lui, même quand elle se déplace.

Puis vient donc l'explication du lieu dans lequel il se trouve. ce lieu qui n'existe pas, dont personne n'a connaissance...

- Je comprend Miss Kayne.

Il marque une légère pause afin de bien assimiler tout ce qui a été dit et de ne pas poser une question alors qu'elle viendrait de répondre. Cherchant ses mots, il finit donc par lacher:

- Miss Kayne, pourquoi avoir choisis le soldat que je suis pour venir ici, et donc intégrer un programme d'ordre gouvernemental?

Astrid lui laissa le temps d'assimilé tout ce qu'elle venait de lui dire et fut plustôt satisfaite de la réponse. Elle sortit donc à ce moment son briquet et alluma sa cigarette pour en prendre une bonne bouffé avant de l'expirer. Elle laissa planner un moment à la suite de sa question, le fixant sans rien dire ni laisser parraître. Elle se remit alors à jouer dans ses papiers et ses documents tout en lui expliquant les raisons de sa présence.

- J'ai spécialement demandé votre affectation à cette prison Mr Jordan. Votre goût de la discipline et votre talent pour la mettre en pratique est exemplaire voir légendaire. J'ai besoin d'un homme comme vous pour mettre de l'ordre dans ce carnage de criminels indiscipliné. Même quelques soldats se lâche un peut trop lousse à mon goût. Je ne suis pas très exigente, mais je n'apprécis pas du tout qu'ils mattent les prisonnières et leur donne alors l'impression d'avoir un pouvoir sur eux.

Elle releva le regard vers lui, prennant une seconde bouffée, laissant planer un autre instant avant de reprendre.

- J'ai également besoin d'un chef pour mes soldats, un commandant si vous voulez une image concrète. Aucun de mes soldats jusqu'à présent n'en méritait le poste. Le voudriez-vous?

Invité

Un petit silence s'installe entre la question du soldat et la réponse de son supérieur. Puis quand la réponse tombe, un sentiment de fierté interieure immense l'envahit. C'est donc elle même qui l'avait demandé. Il ne lui avait pas laisser une si sale impression que ça... Lorsque vint la partie critique sur les soldats, son visage se ferme, la machoire se crispe... Les lèvres se pincent...

- Je ramenerai dans le droit chemin les brebis égarées à grands coups de pompes dans le cul s'il le faut... Pardonnez cet eccart Miss Kayne, mais c'est impardonnable une telle attitude quand on est soldat.

Mais il n'etait pas au bout de ses surprises... Elle lui propose carrément le poste de commandant.
La seule personne qui avait vu sa vraie valeur, c'etait ce petit bout de femme qui avait gravit les echellons, alors qu'il l'avait formé des années plus tot tandis que les hauts dirigeants de l'Etat l'avait mis sur la touche...
Il ne laisse rien transparaitre, mais ça le touche, un minimum tout de même.

- Je ne baffouerai pas l'honneur que vous me faites, Miss Kayne.

En disant cela, il ne peut s'empecher de reprendre une posture carrée et militaire.

Alors qu'il reprennait une stature millitaire, Astrid l'avisa en le pointant du doigt et insistant avec son regard sévère pour qu'il relâche sa posture de soldat. Ce qu'elle attendait de lui était très simple, la discipline millitaire, oui, les postures, non.

- Ne me faites pas répéter ce que je vous ai déja dit Mr. Jordan. La discipline, oui, les potures, je n,en veux pas. Ces criminels ne sont nullement impressionné par les postures alors elles ne servent à rien du tout ici. Mais la discipline, j'y compte bien. Vous avez d'autres questions avant que je vous remette les papiers en règles et vous assigne vos appartements ainsi que votre nouveau bureau?

Invité

Reprenant une pose relativement plus décontractée, il baisse légèrement la tête et le regard.

- Veuillez m'excuser, Miss Kayne.

Si c'est de la discipline qu'il faut, ce n'est pas un problème. C'est un bloc de discipline à l'état brute. bras croisés, il fait craquer l'une des articulations des doigts de sa main droite, alors qu'il roule des yeux. non pas que ce qu'elle dit le gonfle, au contraire, simplement, il cherche une question, afin d'être clairement certain de son rôle au sein de cette faction fantôme.

- Miss Kayne... Je voulais vous demander... Avons-nous carte blanche?

Astrid releva la tête, la tenant haute comme à son habitude et automatiquement, son petit air hautin vient prendre le dessus en y ajoutant un petit sourir en coin amusé. Elle savait très bien qu'il était plus que compétent pour ce poste, mais elle n'avait pas quité l'armée pour devoir refaire des postures riddicules. Non, elle ne les avait jamais aimé.

- Carte blanche à quel propos Mr. Jordan? Ici, les lois sont différentes pour ce qui est du traîtement de nos penssionnaires, mais j,aimerais savoir de quoi vous parlez précisément? On ne fait tout de même pas n'importe quoi.

Invité

Il ferme le poing gauche, et le place devant sa bouche avant de se racler la gorge. Ensuite, il enchaine.

- Miss Kayne, je ne faisais pas allusion aux prisonniers, mais aux soldats. Qu'il y ait de la mauvaise graine n'est pas une bonne chose ici. Comme partout d'ailleurs. Et même s'ils représentent une minorité, ces soldats dont vous me parliez méritent un enseignement spécial...

Ses mains se joignent alors dans le dos.

Astrid roula les yeux puis acquiessa de la tête. Bien sur, il ne parlait pas des prisonniers! Comment pouvait-elle avoir penssé celà? Son ancien mentor, elle le connaissait bien, elle aurait bien dut se douter que ce qu'il l'intéressait pour l'instant c'était de remettre à l'ordre les mauvais soldats.

- Bien sur, pardonnez mon oublis de votre personne. Vous faites ce que vous voulez avec eux, je n,en ai rien à faire! En autant que ça les ramène dans le droit chemin ça me va, mais je ne veux pas voir des soldat trop amoché. Brusquez les tant que vous voulez mais ne les amochez pas. Gardez plustôt ça pour les prisonniers, je crois qu'ils le méritent amplemant.

Sur ses derniers mots, un sourire mesquin et sadique apparut sur ses lèvres. La violence, elle adorait et souhaitait torturer jusqu'à la mort tous les criminels de ce monde et attendait bien sûr de même pour les membres du personnel de cette prison.

Invité

Silencieusement, sans un semblant de satisfaction sur le visage, il fit "Oui" de la tête. Botter des derrières à longueur de journée ne lui plaisait pas forcément. Mais il y a des règles à respecter, et ceux qui s'en eccarte doivent être sanctionnés. Encore plus s'ils representent une quelconque autorité.

- Ils auront une punition proportionnelle à la faute commise. pas de gueulante... Les poings parlent mieux que les mots.

Question de point de vue...

Regardant alors le sol, il fait maintenant craquer sa nuque, en lachant une petite expiration bruyante.

- Pardonnez-moi Miss Kayne.

Puis il lève la tête, le visage vers elle, mais il ne la regarde pas directement. Non, non, jamais.

- Et pour les prisonniers...

Il ne termine pas sa phrase, pas la peine. les prisonniers, ces malfaiteurs de haut rang ne méritent pas qu'il parle d'eux.

Un nouveau sourire s'afficha sur le visage de la dirigeante et cette fois il était encore plus sadique que les dernières secondes précédantes. Les prisonniers? à mort! Ils sont condmnés à mort et ils le sont donc déja.

- Les prisonniers sont déja tous morts ici, alors faites-en ce que vous voulez. Torturrez les, battez les, tuez les ça m'être complètement égale!

Elle eut alors un instant de doutes. Allait-il faire quelque chose aux mineurs? Sa faiblesse pour ses petits jeux pervers? Tout celà était bien sur secret mais ça ne devait pas du tout ce savoir.

- Mais bien sûr vous comprendrez bien que les mineurs nous n,allons pas les tuer. Ils auront seulement à endurer la turture plus longtemps. Autant leur montrer peu à peu le chemin de la maturité.

Invité

Tout se bidouille déjà dans sa tête. Il ne sait pas combien il y a de detenus ici, mais il pense déjà à 70 façons différentes de mettre à mort un homme, et sans armes pour le moment. Et comme il y a surement plus de 70 prisonniers dans tout ce batiment, il aura surement de quoi exercer sa créativité.

- Je ne prendrai de gants avec aucun d'entre eux. S'ils sont ici, c'est qu'ils le méritent. Mineur ou pas, pas de privilège.

Dureté dans la voix. Fantaisie dans sa tête.

"Programme de la journée...
Levé 4h15, on se prépare, on déjeune, on s'echauffe.
5h30: Je choisis un prisonnier au hasard comme sac de frappes.
8h, je change de sac...
11h...

Mon dieu, dire que j'ai été mis sur la touche si longtemps..."

Et il sort de sa reverie.

- Miss Kayne, je n'ai plus de question.

Astrid est plutôt déçu que son plan de pouvoir lui faire comprendre son point de vue pour la toture n'est pas fonctionné. mais si elle tentait de le dissuader une seconde fois aussi rapidement, son secret serait surement découvert et elle préféra donc ne rien ajouter de plus. Sa faiblesse pour les mineurs pourrait lui coûter même ici.

- Parfait! Alors dans ce cas je ne vous retiens pas d'avantage.

Elle prit une pile de document et sortit de derrière son bureau pour rejoindre Hal. Elle lui tendit le document contenant tout ce qu'il y avait à savoir au niveau de son poste, son rôle et le rôle de chacun, la liste des prisonniers et du membre du personnel, un plan de la prison, les règlements, les horraires, les passes, ses appartements, son bureau, bref tout ce qu'il devait savoir, il l'avait maintenant devant lui dans ce document.

- Je ne vous retiendrai pas plus longtemps Mr. Jordan. Nous avons tous du travaille à faire et je crois bien qu'il serait temps que vous vous séchiez un peu avant de sentir l'humidité renfermé. Je vous donne donc congé soldat et vous êtes maintenant libre de vos mouvement.

Invité

On ne badine pas avec le protocole... Et comment zapper des années de règlement... Il tappe de pied au sol, se mettant au garde à vous. Manière pour lui de lui présenter ses hommages avant de quitter le bureau.

- Miss Kayne!

Il ramasse son paquetage, puis incline la tête avant de prendre la direction de la porte. Il l'ouvre, puis sort don cdu bureau de sa superieure. Il est "content" de voir que l'une des recrues qu'il a formé ait réussi. Nulle jalousie, non. presque un sentiment de fierté.

Une fois à l'exterieur, il prend la direction de ses appartements... Il a effectivement besoin de se changer.

[Appartements des Soldats]

[Le vestibule]

Mike avait continué son trajet dans le couloir central toujours accompagné de ses deux gardes qui le tenait plus fermement que possible. Soudain les geôliers ralentirent, ils s’arrêtèrent devant une porte et l’ouvrirent. La porte laissait place à un bureau assez luxueux, mais avec un aspect autoritaire et militaire. Mike fut vite assit sur la chaise et menotter aux bras de celle-ci. Il eut un petit rire et dit :

« Messieurs vous êtes bien excité, mais désoler je n’ai pas ce genre de tendance. »

Ce qui lui valu une baffe en arrière de la tête, enfin deux puisque c’était le nombre de gardiens. Malheureusement, cela ne fit ni un ni deux à cette violence, puisqu’il y était habituer. Ils attendirent un moment et la porte s’ouvrit à nouveau.

Astrid n'avait pas eu le temps de s'instaler encore, mais quelques une de ses affaires avaient été disposé à l'avance pour elle. Quelques boîtes trainaient encore dans un coin de la pièce. En entrant elle vit que les gardes avaient déja menotté le prisonnier à une chaise. Elle ne prit même pas la peine de les regarder et se dirrigea derrière son bureau en leur donnant un ordre, toujours de sa voix autoritaire.

-Sortez!

Les deux gardes s'exécutèrent et refermèrent la porte derrière eux, laissant Astrid seule avec Mike. Elle s'apuya les deux mains sur son bureau et fixa Mike de son regard toujours aguicheur.

-Alors? Et ce que tu voulais me dire? Maintenant qu'on est seul tu n'as pas à me le dire dans le creut de l'oreille.

Le prisonnier souriait toujours avec un air amical qui n’allait pas du tout avec celui d’un meurtrier. Il la regarda sans rien dire laissant s’installer un silence parfait. Il croisa les jambes à la façon d’un homme. Ses yeux ne se détachant pas des siens attendant que le premier parle et il fallait croire que cela allait être lui.

« Alors mademoiselle que vaut l’honneur de mon passage dans votre bureau, vous n’allez quand même pas abuser de mon corps, se ne serait pas convenable. »

Il eut un petit rire sans malice, cette femme l’amusait beaucoup et l’intéressait beaucoup aussi.

Astrid lui sourrit. Quelle genre de prison croyait-il avoir été envoyé? Il n'était certainement pas au courrant on aurait dit. Astrid refit le tour de son bureau et alla s'y assoir juste devant le jeune adolescent. Elle se croisa les jambes mais son mouvement laissa entrevoir pendant une fraction de seconde, sous sa jupe, étant à la hauteur des yeux de ce dernier.

-C'est moi qui décide ici de ce qui est convenable ou pas. Les lois civils n'ont aucunes autorités ici et je peux donc faire ce que je veux.

Elle se pencha alors légèrement vers l'avant pour avoir les yeux à sa hauteur.

-Mais tu ne m'as toujours pas dit ce que tu voulais me dire dans le vestibule tout à l'heure...

Bien qu’il soupçonnait que se soit fait exprès, il vit en effet la petite culotte de la jeune femme, mais ne rougit pas pour autant. C’est donc, elle qui faisait les règles ici, intéressant. Il s’approcha, car il le pouvait jusqu’à ce qu’il soit à deux centimètres du visage de Astrid. Il souriait toujours, mais cette fois-ci en coin.
Il restèrent ainsi environ trente secondes puis il finit par dire:

« Donc, vous allez abuser de moi, vous savez j’adore les dominatrice comme vous. »

Puis rapidement colla sa bouche à la sienne et l’embrassa langoureusement le plus longtemps qu’il pu.

Astrid fut un peu surprise de la rapidité de ses charmes vis-à-vis l'adolescent, mais ne laissa pas parraitre sa surprise face à la situation et répondit plutot à son baisé avant de le repousser violament sur le dossier de la chaise avec son pied, le talon éguille de sa chaussur pénétrant son torce. Elle lui dédia un sourrir en coin.

-Tu t'en permet beaucoup je trouves. Alors comme ça tu aimes les dominatrices? Je peux t'en faire voir de toutes les couleurs.

Elle se leva et marcha jusque derrière lui passant une main sur son torce et remontant jusqu'à ses cheveux pour les agripper et lui tirer la tête vers l'arrière violament. Elle se pencha alors pour être au niveau de son oreille et lui chuchotta dans le creux de celle-ci.

-Tu préfères être enchainé à cette chaise où être enchainé au mur?

Mike eut mal à cause du talon aiguille, mais réussit tout de même à dessiner un sourire en coin sur ses lèvres, bien que ses yeux se plissait de douleur. Ils sentit quelque chose le tire par en arrière c’était bien sûr la dirigeante. Il perdit son sourire pendant quelque seconde, ses cheveux cachaient ses yeux bleu.
Ils vint pour dire quelque chose, mais s’arrêta :

« Vous croy…… »

Il laissa au moins une trentaine de seconde avant de reprendre :

« Vous n’auriez pas une tendance sadisme par hasard, vous voulez donc tant abuser de mon cœur. Haha je sais je suis irrésistible. »

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