Arrivée des jumeaux[terminé]

La porte s’ouvrit doucement, deux silhouettes se présentèrent derrière celle-ci, une était plutôt svelte et petite et se collait à l’autre qui était plutôt masculine. Pourtant ces deux personnes avait les même traits physiques. Il se ressemblait vraiment. Il s’agissait d’un homme et d’une femme dans la vingtaine. Plus précisément; 23 ans. La jeune femmes tenait la main de l’homme et portait des habit plutôt extravagant, le capuchon de sa veste possédait des oreilles de lapin. De plus, elle se tenait de côté pour ce coller fortement au bras de l’homme.

« Grand-frère, nous sommes arrivés! Où devons-nous allez maintenant. Hihi ? »

-Je ne sais pas, attendons un peu et on ira explorer ensuite, petite sœur.

-Grand-frère, on ne se sépare pas pour explorer n’est-ce pas?

La jeune femme affichait un aire triste et inquiète. Le jeune homme se pencha vers elle et prit son visage avec délicatesse dans ses mains. Puis, il frotta le bout de son nez sur le sien(bec eskimo, il paraît); avec une voix douce et protectrice, il répondit :

« Jamais je ne te laisserai seule ici petite sœur. »

-Grand frère je t’adore.

Elle lui sauta dans les bras, en abordant un sourire fendu jusqu’au oreille. Le grand frère l’attrapa au vol et la serra contre lui…

[Dirigeant demandé]

Astrid arriva à ce moment précis où la jeune femme sauta dans les bras du jeune homme. Les deux se collaient l'un à l,autre comme le ferait un véritable couple d'amoureux. La dirigeante avait bien été informé de la relation extraverties de ses deux jumeaux, mais elle ne s,attendait pas à tant.

Elle s'avança alors vers eux et coupa rapidement cours à leurs marques d'affection mutuelle en prenant la parole de son ton autoritaire, comme à son habitude pour toute personne arrivant à la prison pour la toute première fois. Elle était patrone en ces lieux et comptait bien démontrer dès le départ que quiconque lui devait du respect.

- Eh bien je vois que c,est l'amour fou entre vous! Vous garderez bien ces démonstrations d,affection pour vous dans vos appartements respectif. On m'a bien dit que vous ne vous sépareriez jamais alors vous possédez le même appartement. J'en déduis rapidement que vous êtes les deux jumeaux Jenna et James Enderson?

Leur regard se tournèrent vers la jeune femme qui venait d’arriver. Elle semblait plutôt autoritaire, chose qu’elle semblait bien montré son arrivée et pour dire que s’était bien elle le patron. Jenna resta un moment dans les bras de son frère, puis glissa doucement pour atterrir sur ses pieds tout en agrippant le bras de son jumeau. Elle releva la tête vers son frère et dit :

« Grand-frère la madame est pas gentil-leu. Elle veut pas que je fasse des câlins à grand-frère. Je l’aimes pas. »

-Ça va aller, petite sœur.

La petite cacha de son visage derrière le bras de James, celui-ci s’avança vers la dirigeante. Sa jumelle suivant derrière. Le jeune homme au visage impassible regarda longuement la dirigeante dans les yeux puis détourna son regard et dit sur un ton neutre :

« Oui, comme vous pouvez le constater nous sommes les fameux jumeaux. Nous somme venus combler le poste de maître vacant. Merci de venir nous accueillir. »

Astrid arqua un sourcit lorsqu'elle enttendit Jenna parler à son frère comme une petite gamine, disant qu'elle n'aimait pas la dirigeante parce qu'elle n'acceptait pas les calins démonstratifs de la sorte. Son frère la rassura et la protégea alors qu,elle se cachait derrière ce dernier.

* Mais c'est ça bordel?! C'est quoi cette merde qu'on nous envois?!*

Astrid ne comprennait absolument pas pourquoi de tels individues avaient été emmené dans cette prison pour "les aider" avec les criminels s'y trouvant. James s'avança vers Astrid et la fixa dans les yeux un moment. La dirigeante ne pouvait s'empêcher de le regarder froidement, lui lessant bien voir qu'elle ne tolérait pas que l'on discute ce qu,elle disait. Il fini alors part confirmer ce qu'elle venait de constater. Sur ces mots, Astrid referma le dossier d'un coup sec.

- Eh bien j'aimerais pouvoir en dire autant de votre obéissance. Les caprices d'enfant ne sont pas tolérés ici et j'enttend très bien obtenir de votre part ce que je vous ai demandé. Dans le cas contraire il y aura de graves concéquances.

Elle baissa alors les yeux vars Jenna qui se cachait toujours derrière le bras de son frère. Cet avertissement s,adressait surtout à elle plus qu'à son frère.

- Maintenant éclairez moi je vous prit. À vous voir en ce moment devant moi à vous faire des calinous, je ne comprend absolument pas pourquoi vous avez été amené ici. J'aimerais savoir quelles sont vos compétences, parce que pour l'instant je n,en voit pas.

Jenna fit une moue, elle avait bien vu que le commentaire de la dirigeante s’adressait à elle. Ses yeux se froncèrent instantanément. Elle leva son bras de manière fluide, elle mit sa main dans son capuchon et sembla empoigné quelque chose. Elle ferma ses yeux et quand elle les ouvrit, il semblait exorbité. Son sourire s’allongea de façon sadique. Elle allait sortir quelque chose de couleur rose bonbon, mais on ne le perçu que très peu. C’est à ce moment que James bougea. Il attrapa le poignet de sa sœur. Il mit sa main devant ses yeux et lui murmura quelque chose à l’oreille. Son sourire s’effaça, puis redevint joviale. Quand il enleva sa main ses yeux étaient redevenus rayonnant. Puis la gamine de vingt-trois ans dit :

« Hihi, la dirigeante n’a pas entendu parler de nos exploits, grand-frère. Alors, il faudra qu’elle nous voie à l’œil. Il faut nous trouver deux prisonniers. Sinon nos talents joueront toujours à la cachette avec madame la dirigeante. »

-Madame, je vous prit de nous mener, ma sœur et moi aux dossiers des prisonniers pour que nous puissions choisir chacun un prisonnier.

Astrid resta de glace alors que Jenna prennait son air sadique et la menaçait. Beaucoup de personnes serait restés surprise et auraient tenté un geste de protection devant une tel démonstration de sadisme et de changement soudain. Mais la directrice en avait déjà vu de bien pire et ne broncha absolument pas du tout à ça.

Elle constata que son frère pouvait la calmer facilement. Mais lorsque les deux seraient dans une tel transse, qui les calmerait? Le but d'Astrid était bien simple, les dévoiler. Leur donner le défi de prouver leur valeur en les piquant sur leurs orgueils et elle avait bien réussit avec la soeur. Restait maintenant plus qu'à voir si celà était de la comédie ou si cela était vrai. La remarque de James, parcontre, ne laissa pas la directrice à froid. Elle le regarda de son expression la plus glacial qui soit. Il venait de lui donner une requette formulé de la même manière qu'un générale à son commandant.

- Mr. Enderson! Je crois que vous devriez d'abbords apprendre qu'ici JE décide et pour l'instant votre priorité n'est pas de vous choisir un prisonnier. J'ai eut vent de vos capacités, néanmoins je n'ai pas de preuves tengible sous la main. Instalez vous dans vos appartements respectif et je vais éplucher votre dossier et voir à vos références. J'ai un doute sur vos capacités et je n,aime pas posséder ce doute.

James regarda la dirigeante dans les yeux. Elle avait un doute sur leur capacité. Le jeune homme commença à marcher vers la dirigeante, mais il passa à côté. Il croisa le regard de Astrid au même moment où il a croisait. Ses sourcils étaient froncé, l’attitude de la dirigeante ne lui plaisait pas du tout. Douter ainsi de ses capacité l’insultait au plus au point de son être. Après quatre ou cinq pas derrière la directrice, il tourna sa tête, regardant la dirigeante, il venait de comprendre le point de départ de son doute.

« Vous vous demandez si nous jouons la comédie afin d’intimidé nos prisonniers. Détrompez-vous, nous agissons normalement. Plusieurs personne nous l’on demander déjà. Avez-vous déjà entendu parler de l’expression qu’il faut un fou pour comprendre un autre fou. De plus, si vous douter de nos techniques, regarder le dossier WDT-201-03-099 : Interrogatoire de Arturo Elfino. Ha mais, dans le rapport réserver au chef de l’escouade, vous devez connaître facilement comment y accéder. C’est notre œuvre. Il nous a avouer le nom de tout ses hommes, dont même un de ses tueurs à gages plutôt doué, un certain Mike Chelfley. Nous l’avons tellement rendu fou qu’il est maintenant dans un asile, attendant sa sentence… »

Un silence se fût, James remit sa tête bien droite. Il tendit la main. Jenna gambada jusqu’à son frère et lui prit la main. Elle salua la dirigeante et puis demanda à son frère :

« Que faisons-nous maintenant, grand-frère James? »

-Nous allons à l’appartement.

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