Bureau d'Astrid Kayne

Astrid rigola. C'était la toute première fois depuis qu'elle était arrivé qu'elle rigolait et celà était chose rare. En fin de compte elle aimait bien cet adolescent présomptueux et elle comptait réellement s'amuser un peu avec lui.

-Qu'est-ce qu'il y a chéri? Tu n'aimes plus les dominatrices?

Elle lui lècha l'oreille et sortit son petit canife qu'elle garde toujours sous sa jupe et le mit sous le menton de son prisonier.

-Tu ne m'as toujours pas dit où est-ce que tu préférais être enchainé? Tu es dans une prison ici et c'est moi qui décide de ton sort. Tu as déja le prévilège d'être ici dans mon bureau alors n'abuse pas trop de ma gentillesse. Mur ou chaise?

« Oh lala vous ne devriez pas jouer avec ça, vous pourriez vous blessez ou blessez quelqu’un, ce serais mal pour votre dossier. En plus vous me posez encore cette question ennuyeuse. Pourquoi ne pas parler de notre avenir, je vous ai embrasser… »

il tourna sa tête vers celle de la dirigeante et lui lécha la bouche et rapidement lui déposa un deuxième baiser puis, il retourna rapide vers l’avant et continua son charabia, il avait fait exprès de la déconcentrer, disons que ses menottes n’était plus fonctionnelle, mais semblait correcte.

« Bon je vais quand répondre à votre question mademoiselle. Ha que vous êtes mal élevé au moins vous pourriez dire s’il vous plait… Enfin Je préfèrerais au mur sur ce crochet pour manteau. Avec un coup de tête, il désigna le fameau crochet visser au mur à leur gauche, imaginer vous pourrez réaliser votre phantasme sexuel sur mon corps que vous trouvez sûrement irrésistible. »

Astrid fut plutot surprise, une fois de plus, de la réaction de l'adolescent. Il était vraiment arrogant et au-dessus de sa petite personne. Astrid aimait bien son attitude, mais elle n'allait certainement pas se laisser jouer de la sorte par un jeune prétencieux. Elle essuya le coin de sa bouche avec son doigt. Puis elle agrippa brusquement les épaules de Mike pour le radosser à sa chaise et profita du moment de surprise pour descendre ses deux mains jusqu'au bat de son ventre et entrer ses doigts sous son jeans, la bouche collé à son oreille pour lui murmurer.

-Notre avenir se limitera à cette seule fois. Mais si tu fais bien ça, il se pourrait que j,ai envis de recommencer, mais pour ça tu dois d'abord me prouver ce que tu vaut.

Elle le lâcha alors puis se redressit derrière lui. Elle déboutonna sa veste et la retira pour ne garder que ça camisole en dentelle blanche puis marcha vers son bureau pour l'y déposer. Elle était dos à lui et il pouvait voir ses cicatrices que la guerre avait laissé sur elle.

-Pour ce qui est du canife tu peux constater que de me blesser je n'ai pas peur.

Elle appuya alors sur le bouton d'appel placé sur son bureau pour appeler la garde. Elle se retourna alors vers lui, son sourrir farouche sur les lèvres.

-Irrésistible? T'es à croquer.

Les gardes entrèrent alors dans le bureau et Astrid reprit son aire sérieux et autoritaire pour leur donner ses ordres.

-Attachez le moi sur le crochet à manteau et que ses chaines soient solides.

Les gardiens se regardèrent quelques secondes, un peu surprit puis s'exécutaire.

Les deux gardes s’approchèrent de Mike, mais ce qu’ils ne savaient, c’est que les menottes étaient déjà détachées. Le jeune homme retira rapidement ses mains des menottes et leur donna chacun un bon et fort coup de poing dans le ventre, ce qui leur coupa le souffle. Sans attendre, il leur fracassa le nez sur les bras de la chaise en bois et les assomma d’un coup sec. Il relava la tête et regarda avec un sourire en coin Astrid. Il passa ses mains autour de son ventre et lui murmura à l’oreille :

« La seule qui m’attachera se sera toi et pas ses larbins de seconde zone. »

Il se retira en frôlant sa poitrine. Il se dirigea vers le mur de gauche enlevant sa chemise et sa camisole laissant lui aussi percevoir ses cicatrices. Puis, il s’appuya sur le mur près du crochet à manteau.

« Alors qu’est-ce que tu attends, viens me faire voir tes talents de dominatrice… »

Astrid s'était retourné pour sortir un paquet de cigarette de son coffret placé sur son bureau et enttendit soudain le bruit des menottes et le bruit de coups portés violement. Elle se retourna pour voir Mike debout en train d'asséner un coup à la tête des deux gardes sur la chaise. Astrid ne prit aucun air surprit et resta placide et de glace alors que Mike s'approchait d'elle et la prit par la taille. Ses yeux gris sans expression fixèrent ce dernier sans aucune expression.

« Alors qu’est-ce que tu attends, viens me faire voir tes talents de dominatrice… »

Astrid releva un sourcit mais sans plus. Elle sortit alors une cigarette et l'alluma, jettant au passage un regard à l'adolescent maintenant torce nu. Elle resta acoudé sur le bureau quelques instants à le fixer sans rien dire et prit quelques bouffés. En fait elle réfléchissait, elle l'aimait bien. Elle se redressa finalement, jeta sa cigarette sur un des garde éttendu au sol et y écrasa le mégot avec son pied, pour ensuite lui prendre ses chaines à menotte.

-Très bien.

Elle s'approcha alors lentement de Mike, lui prit le bras et lui menotta le poignet très serré. Elle passa alors la chaine dans le trou du crochet étant très près de son nouvel esclave sexuel. Mais à la grande surprise de se dernier elle ne lui attacha pas son second poignet mais le sien. Elle le regarda alors dans les yeux de son regard perssant.

-Au fait, je t'aime bien dans le fond. Elle resortit son canife et le lessa glisser le long de son torce jusqu'à sa hanche tout en lui disant, à toi de me montrer si j'ai raison.

Puis elle lui fit une légère entaille à la hanche pour lecher ensuite le sang qui y était.

En effet, le jeune homme fut surprit qu’elle s’attache le poignet et non lui. Cela lui prouvant qu’il n’était pas complètement à sa merci, de plus elle lui disait qu’elle l’aimait bien. Quand elle lui fit une légère entaille, sa lèvres supérieur frémit un peu à cause de la douleur, mais il y était habitué.
Il glissa doucement sa main libre, sous sa jupe et fit glisser sa petite culotte jusqu’à terre. Mike la regarda avec un sourire coquin et alla lui murmurer à l’oreille :

« Je saurai te dire si tu as raisons alors continue »

Il descendit son bras jusqu’à sa cheville ramassa en cachette sa petite culotte puis remonta en faisant glisser sa main sur sa peau douce Frôlant de son visage sa poitrine, puis alla lui lécher le menton jusqu’à la bouche, pour lui donner un baiser un peu mordant. Il se retira d’elle et dit simplement :

« Vas-y à fond. »

Astrid se laissa faire, ce qui n'était pas dans sa nature, mais elle le fit tout de même. Il tenta de cacher qu'il ramassait sa culotte mais elle le vit faire. Elle se dit qu,elle la récupérerait plus tard. Il agissait comme un animal, ce qui ne déplaisait pas du tout à la dirrigeante.

« Vas-y à fond. »

Astrid haussa un sourcil et prit un aire farouche avec un légé sourrir sadique.

-Avec plaisir le jeune.

Elle le plaqua alors au mur, appuya sa jambe contre le bureau juste à coté et lui retira d'un coup sec sa ceinture pour la balancer en arrière dans un bruit fouettant l'air. Elle lui retira ses pentalon tout en lui lechant le torce, puis remonta jusqu'à son visage pour lui mordre la lèvre inférieur.

Du sang coula de sa lèvre inférieure, mais ne l’essuya pas de sa langue, il la laissa le mordre sans rien dire. Maintenant plaquer au mur, il restait immobile. Un mince filet de sang partait de sa lèvre et se rendait au menton. Il y avait de la douleur, mais ne bronchait pas. Il prit de ses mains la camisole de la directrice et la déchira sèchement laissant apparaître sa poitrine. Mike la fixa un moment puis remonta jusqu’aux yeux . Il fallait bien en montrer plus, maintenant qu’elle lui avait enlever ses pantalons.

Mike releva la tête et soupira un peu, il prit un air ennuyé pour provoquer Astrid. Puis, il rebaissa lentement la tête avec un air mesquin et moqueur :

« Pour une dominatrice, tu ne m’en montres pas trop, tu ne me fais pas assez mal. Reprend ton couteau. »

Astrid voyait claire dans son petit jeu. Il cherchait à la provoquer d'avantage? Eh bien il serait servit sur un plateau. Astrid Sortit rapidement son canife et le lui planta dans l'épaule. Elle lui aggripa alors les cheveux de façon à lui faire mal et approcha son visage du sien avec son visage durcit par l'aggrssivité.

-T'es satisfait maintenant? T'as asser mal? Maintenant prend moi espèce de p'tit con!.

Elle lui lècha alors la joue pour le provoquer un petit peu et serra un peu plus sa main qui aggripait ses cheveux.

Mike redressa la tête et essaya d’étouffer un son cris mais n’y parvint qu’à moitié, mais il ne resta pas longtemps ainsi, Astrid lui avait empoigné les cheveux et l’avait approché de son visage à elle. Il fallait croire qu’il l’avait mise en colère, mais il dessinait toujours cet habituel sourire en coin. Il ne savait pas pourquoi, mais il adorait la mettre en colère. Son agressivité le faisait bien rire. De plus, la dirigeante voulait se faire prendre. Il lâcha un petit rire avec un ton malicieux.

« Il faut croire que si je dois prendre les devants, c’est que tu n’es pas à la hauteur que tu prétends être. »

Il jeta un coup d’œil à son épaule, le sang coulait abondamment, il eut un petit sourire et fit face au regard de la jeune femme.

Astrid regarda Mike quelques instants. Il cherchait vraiment à la mettre en colère et à avoir le dessus sur la situation. Mais Astrid ne le lesserait pas faire. Elle baissa la tête et émit un long soupir. Elle fouilla ensuite dans la poche de sa jupe et sortit la clé des menottes pour se détacher. La partie était fini.

-Bien. Je constate bien là que tu n'es pas des plus intéressant. Dommage, tu manque une chance de pouvoir t'amuser un peu à des jeux auquels tu risque de beaucoup t'ennuyer. Mais peut-être est-ce seulement que tu n'as aucunes expérience dans ce domaine.

Elle s'arrêta dans son geste d'ouvrir sa menotte, puis jeta un coup d'oeil en coin à Mike. Elle semblait bien l'avoir piqué dans son orgueille de mal.

-Si ce n'est pas le cas, alors prouve le.

On dirait que la dirigeante avait elle aussi un orgueil mal placé elle aussi et elle avait le sens de la répartit, elle devenait de plus en plus intéressante. Il la regarda pendant un moment sans sourire, les yeux mi-clos. Il referma les menottes et alla chercher les cheveux d’Astrid et les sentit. Il décrocha les menottes de sur le crochet. Retira le couteau de son épaule avec raideur, ce qui fit gicler le sang sur le mur. Il la plaqua sur le mur, lui lécha l’oreille et la mordilla un peu. Puis murmura :

« Cela fait bien longtemps que je ne suis plus puceau. »

Astrid reçu quelques éclats de sang sur le visage lorsqu'il retira le canife de son bras, ce qui lui fit fermer les yeux par réflexe et ensuite elle se retrouva plaqué au mur. Bien! Il commençait enfin à saisir! Elle ne put alors se retenir un rire rauque mais discret. Puis il joua avec son oreille et elle ne fit rien pour l'arrêter. Elle aimait plutot l'idée qu'il essait de lui prouver qu'il n'était un minable sans expérience.

« Cela fait bien longtemps que je ne suis plus puceau. »

Astrid éclatta une seconde fois de son rire rauque, mais cette fois, moins discret et plutot sec. Elle s'arrêta aussi sec qu'elle avait commencé à rire et reprit son petit air sérieux et farouche. Elle leva les mains au-dessus de sa tête et aggripa le crochet à manteau pour s'y suspendre et passa ses deux jambes de chaque côté pour l,entourrer à la taille. Elle approcha alors son visage du sien, jusqu'à être très près de ses lèvres.

-Alors montre moi ce que tu sais faire. Prouve le.

« Tu ris bien fort pour une femme qui est sensé dominer, pourtant c’est toi une dirigeante qui va être soumises à moi un prisonnier, enfin faut croire que c’est encore moi qui va me payer tout le travail encore une fois avec une poule sans conviction. Bon commençons »

Astrid se tenait toujours après le crochet, , donc, il avait les mains libres. Il descendit ses boxer, se retrouvant ainsi entièrement nu. Il releva la jupe de la jeune femme, celle-ci pouvant maintenant commencer à sentir une bosse dur et montante entre ses cuisses. Puis avec force, il empoigna les fesses d’Astrid avec force. Par la suite, Mike installa son membre frémissant en la jeune femme durement et avec raideur. Il lui serra un sein avec sa main droite et lui donna un baiser mordant tout en donnant de fort coup de bassin répétitif.

Astrid étouffa un hoquet de respiration lorsque Mike la pénétra. Cela faisait bien longtemps, trop longtemps, qu'elle n'avait put assouvir ses phantasmes et ses pulssions avec un homme. Le gamin s'en tirait plutot bien et Astrid commençait à prendre son pied. Elle pencha alors la tête vers l'arrière et regarda le plafond avec une respiration haletante. Elle la cha ensuite le crochet après lequel elle se tenait pénétra ses ongles dans la peau de Mike et dessendit tout le long de son dos.

-Si je ne suis pas domminante, alors pourquoi fais-tu exactement ce que je veux que tu face? Hein? Plus fort!

Un geste attira alors l'attention d'Astrid là où les deux gardes étaient étendu assomés. L'un d'eux bougeait et commençait à s'éveiller. Astrid eut un petit sourrir et murmura à l'oreille de Mike.

-On a de la visite, chéri.

« Tu sais que je t’adore quand tu es chiante toi? »

Quand elle le griffa dans le dos, il arqua légèrement le dos tout en continuant ses mouvements de bassin en Astrid, il doubla la rentabilité à sa demande et commença à haleter lui aussi. Il commençait aussi à voir un peu embrumé, il cligna des yeux et cela se rétablit. Il tourna sa tête vers son épaule, elle saignait toujours et il sourit. Astrid vient lui murmurer à l’oreille, il retourna la tête, effectivement les gardes étaient en train de se réveiller, l’un était déjà en train de se lever en se tenant le nez. Il se retourna vers la dirigeante et lui dit simplement :

« Dit leur simplement de sortir et d’attendre que l’on ait finit. »

Astrid arrêta de sourrir et regarda Mike de son regard gris et glacial. Elle le repoussa alors et lui mit une giffle. Il lui donnait des ordres? Elle ne recevait d'ordres de personne. Elle remit alors sa veste pendant que le garde se relevait chancelant et clignait des yeux pour tenter d'y voir plus claire. Il constata alors la scène et ne comprit pas ce qui se passait. Il questionna alors la dirrectrice du regard, il semblait croire qu'elle venait d'être violé. Il s'appraitait à sortir son arme pour neutraliser le prisonnier mais Astrid leva la main pour arrêter son geste.

-Non. Je m'en occupe. Emmenez votre collègue et vous-même au laboratoire vous faire soigner.

Le gardien resta sans réaction pendant quelques secondes ne sachant plus quoi pensser, puis s'exécuta et sortit avec l'autre gardien. Astrid se tourna alors vers Mike.

-Depuis quand donnes-tu les ordres? Tu m'aimes chiante? Tu vas y gouter.

Et elle lui donna une seconde giffle.

Mike fut un peu surprit d’être frappé, il fut projeté vers le bureau d’Astrid. Voyant les gardes se relever, il remis ses boxer. Puis, il alla chercher son pantalon et le mis avec difficulté, car ses pas était chancelant et ses yeux à nouveau brumeux. Il essaya de remettre sa camisole, mais son épaule était trop douloureuse et la laissa tomber par terre. Quand les gardes furent sortit, il reçu une autre gifle de la part de la dirigeant. Comme il était instable, il dû donc se laisse plaquer au mur grâce à la force de l’impacte. Il haletait et ne disait rien. Il ne regardait même pas Astrid. En fait s’il l’aurait regarder, il l’aurait vu flou, mais il souriait toujours en coin.

Astrid se sortit une cigarette et l'alluma. Elle regarda ensuite Mike qui halletait, adossé au mur, avec toujours son sourrir en coin sur le visage. Elle s'approcha alors lentement, de sa démarche provoquante d'un déhanchement et lui prit le menton pour lui redressir la tête et le regarder dans les yeux. Il clignait beaucoup des yeux. Astrid eu un rictus sec, puis garda son sourrir malicieux.

-J'espère que t'as pas dépenssé toute ton énergie chérie parce que moi j'avais pas terminé avec toi.

De sa main avec laquelle elle tenait sa cigarette, elle s'appuya sur le mur juste à coté de la tête de Mike et de son autre main elle deboutonna son pentalon qu'il avait reboutonné à la hate.

La jeune homme se sentait déséquilibrer dans tout son corps. Il sentait que ses jambes tremblaient plus, il essayait de les arrêter plus elles augmentaient les tremblements. Ils entendit Astrid lui parler, mais ne comprenait pas le sens de ses mots, c’était comme si elle parlait une langue étrangère. Il sentit de la fumé et la jeune femme le toucher près du haut de son pantalon. Ses jambes ne tenait plus en place, il avait maintes difficulté à les tenir en place. Son dos glissa le long du mur et se retrouva assit par terre les jambes allongées à moitié plier.

Astrid vit le jeune homme s'éfondrer au sol et elle roula alors des yeux d'aggassement. Elle poussa alors un soupir et prit une autre bouffé de cigarette avant de se retourner en enjambant Mike.

-Minable...

Elle alla ensuite à son bureau et appuya sur le bouton d'appel. Elle s'assit ensuite sur son bureau, nonchalament, les jambes croisés et prennant une longue bouffé tout en regardant Mike de son regard froid et hautin.

-Tu sais...tu viens à l'instant même de gacher toutes tes chances. Tant pis pour toi le jeune.

Les gardes entrèrent alors dans le bureau, ce n'était pas les mêmes que tout à l'heure et ils regardèrent le bordel dans le bureau sans trop comprendre se qui venait de se passer. Elle leur fit signe d'enmener le prisonnier et tous deux allèrent menotter et emmener le prisonnier à moitié sonné qui s'étalait à moitié au sol. Mais juste avant qu'ils passent le cadre de la porte Astrid les arrêta. Elle s'aprocha alors de Mike et fouilla dans la poche de son pentalon pour y récupérer sa culotte qu'il lui avait volé.

-Ça c'est à moi mon chou et je tien à la garder.

Elle lui donna alors un baisé sonnor sur la joue et les laissa l'emmener à sa cellule.

» Astrid Kayne [Dirigeante]
» Appartements de Miss Kayne
» Bureau des Plaintes
» Bureau de Tyser